vendredi 30 août 2024

Ah ! l’idée que nous serions séparés de la nature…

Ah ! tiens ? Cette idée que nous nous serions séparés de la nature, dans cette « croyance » que notre espèce serait au-dessus des autres ?

Sur France Culture, émission du 16 décembre 2023 : La Nouvelle alliance, ou la chute de Newton ?

Les descriptions du monde que réaliseraient nos sciences ne seraient qu’un point de vue « déformant » et incomplet, inévitablement. Le biais de chacune de nos expressions, scientifiques, philosophiques, religieuses, animistes, artistiques, etc., ne coïncide guère, ou pas, et rares sont les approches ayant tenté une vision holistique englobant tous les points de vues, sans forcément les opposés. Nous ne sommes qu’une expression du vivant, parmi d’autres, ni plus ni moins, et « que nous sommes dans la nature [1], pas en dehors ». Déjà au XVIIe siècle Baruch Spinoza (1632-1677), en occident, élaborait cette thèse, que Isaac Newton (1642-1727), un peu plus tard, réfuta, semble-t-il, à travers une sorte d’intégrisme scientifique réduisant le monde à une formulation mathématique universelle ?

Cet aspect est exprimé à travers les narrations réunies sous le vocable « İpanadrega », et particulièrement dans les volumes : 3. 4. « singes savants, du robote à la chose », une chronologie de récits entremêlés et indissociables, faits de parcours divers, tout ce que l’on perçoit d’une probable « philosophia vitae » du vivant où se mêlent des racontements de « singes savants » croyant savoir, « du robote à la chose », tous les outillements du vivant…

Note(s)

  1. ^ Étonnamment, l’idée de nature n’existe pas dans la plupart des civilisations d’Asie. Le terme même, est purement d’expression occidentale !

dimanche 11 février 2024

Visualiser des sonorités ?

Tentative de définition « holistique » (en essayant d’englober tous les aspects) de ce que l’on appelle une sonorité, et de ses différents modes de visualisations :

(Ce qui suit est extrait de la notice du volume 2. « petit chemin », de récits réunis sous le vocable « İpanadrega », augmenté d’ajouts de liens et autres informations complémentaires)

Une sonorité exprime la qualité d’une vibration sonore dans l’air que nous respirons, c’est-à-dire la capacité qu’ont les molécules de ce gaz à diffuser un phénomène oscillatoire tel qu’un bruit, de la parole, une musique ou un chant… Les récits formulés dans ce « petit chemin » sont pour l’essentiel issus d’une captation de ces sonorités indispensables à notre entendement acoustique que transmettent nos oreilles (perception aérienne ou tympanique) et notre squelette (perception osseuse) à notre cerveau afin de décoder un évènement vibratoire, une perception du monde environnant. Ce principe dit de « transduction » exprime la transformation d’une forme d’énergie (sonore) en une autre (influx nerveux, électrique), d’une grandeur physique en une autre. Un microphone, un haut-parleur, une oreille, sont des transducteurs d’énergie ; l’énergie en question, au travers de cette vibration de l’air, permet le transport d’informations (sonores), qui, perçu par un organe récepteur via un vivant, ou de l’un de ses outillements, une machine enregistreuse, va emmagasiner dans une mémoire ; ces informations seront traitées par les organes décrypteur de la structure vivante ou robotique (l’outil informatisé), afin de les utiliser dans le quotidien de son existence ou la nécessité de sa tâche. La sonorité offerte par les mouvements oscillatoires de l’air que chaque être respire, en plus d’être ce gaz indispensable à la survie de beaucoup de vivants, offre un support de communication commun à beaucoup d’entre eux et permet de se repérer dans l’espace terrestre (cette qualité de l’air à transmettre les vibrations est commune à celle de l’eau).

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vendredi 15 décembre 2023

Une histoire du mouvement… (extrait)

Avant, au temps des déplacements lents, il fallait découvrir des territoires vierges…
(on ajoute : à travers cette nécessité irrésistible de se répandre ; il n’y avait guère de gêne pour autrui, les espaces paraissaient vastes ; c’était au temps des premières traces… Mais aujourd’hui, là où les terres semblent toutes conquises, il en est certaines, à peine défrichées, dans notre tête et hors de nous ; par-dessus les sens du corps, il y a ce que le principe vivant qui nous anime ne nous dit pas, ce récit-là [ci-dessous] fut inséré pour préluder comme une introduction à l’égrènement d’autres récits témoignant de ces parcours incertains, sortes de défrichements du dedans et du dehors… de nous.)

(lecture du récit dans sa version finale)

Oui au plus loin des maisonnées les chemins n’étaient pas plus ordonnés, seulement quelque peu sauvages, d’une manière moins déflorée ; à la place des onctueux passages on avait élagué modérément sans trop d’embarras ; juste le début d’un sentier pour quelques pas maladroits, peut-être, mais suffisants pour un avancement ; voir par-devant, juste parvenir aux champs les plus lointains, au pied des monts, des barrières que l’on atteint, pour une pause jusqu’à demain, pour une pause jusqu’au matin…

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samedi 9 décembre 2023

Les effets inattendus d’un gaz

(version)

Nous voulons dire par là qu’un gaz c’est élastique et très volatil, mais celui dont on parle, on nage dedans sans le voir, il nous amène de molécule en molécule, par vague, des p’tits efforts mécaniques des vents d’ondes multiples, cette vibrante sensation qui force l’écoute ! La nature nous a surpris il y a maintenant, oh ! quelques milliers d’années ? Ce gaz que l’on respire et refoule sans cesse conserve plus d’un tour dans son sac, en plus de nous aider à vivre, il nous jette au corps les râles des alentours…

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vendredi 8 décembre 2023

Déchéance, il se souvient de ce vieux mendiant… (extrait)

Du voyage et leurs gens

Je me souviens de ce beau jour d’été dans la grande ville,
je vivais alors dans une de ces maisons à roulettes et motorisées, vous savez bien, celles-ci sont très en usages dans les terrains touristiques où l’on campe pendant la période estivale et dans des natures organisées ; elle fut acquise péniblement à force d’un labeur peu apprécié, mais que j’avais trouvé pour commencer mon périlleux voyage. Oh, j’en allais payer le prix, du confort et des désagréments pendant cinq ans.

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vendredi 1 décembre 2023

Un totem naturel…

Extirpé des récits regroupés sous le vocable « İpanadrega », cette description d’un moment, pendant un parcours au milieu d’une forêt, où se révéla au loin un tronc décharné, comme un Totem, un Totem naturel

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jeudi 30 novembre 2023

Inventeurs ?

Parce que nous ne sommes pas les inventeurs de nous-mêmes, en aucun cas nous ne pouvons reproduire à l’identique un semblable à soi-même, à ce que nous sommes, ce sera toujours un androïde, un robot, une machine… Le réaliser à notre image restera vain ! Ce serait absurde et illusoire, d’ailleurs tout amène à considérer cela comme impossible. Nous ne comprenons pas encore tout à fait pourquoi l’on éprouve le besoin de construire toutes ces machines, ces outillements : pour notre seul confort, notre seule subsistance ?

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mercredi 7 décembre 2022

Vous étonnerez-vous de cette interrogation ?

Ne vous êtes-vous pas un jour demandé, à propos de toutes ces recherches où l’on tente de comprendre les mécanismes nous construisant, ceux à l’origine de notre animation, pourquoi donc nous interrogeons-nous tant sur leur compréhension ; la genèse de notre provenance ressemble à un oubli, quelque  […]

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