ὕλη<p>ὕλη (hȳlē), hylen, hylem, ylem, ilem… matière…</p>2024-03-21T14:06:29+01:00Ylemurn:md5:3746cb0a222478399784913ea83b188eDotclearVisualiser des sonorités ?urn:md5:24e5f31b98b24af899eb1bd467daa0702024-02-11T16:32:00+01:002024-03-21T15:06:29+01:00la rédactionSonorités<p style="text-align: justify;"><span style="background-color:#faebd7;">Tentative de définition « <a href="https://www.cnrtl.fr/definition/holistique">holistique</a></span><span style="background-color:#faebd7;"> » (en essayant d’englober tous les aspects) de ce que l’on appelle une sonorité, et de ses différents modes de visualisations :</span></p>
<p style="text-align: justify;"><em><span style="background-color:#ffffe0;">(Ce qui suit est extrait de la notice du volume 2. « <a href="https://ipanadrega.net/chronologie/category/2">petit chemin</a> », de récits réunis sous le vocable « İpanadrega », augmenté d’ajouts de liens et autres informations complémentaires)</span></em></p>
<p style="text-align: justify;">Une sonorité exprime la qualité d’une vibration sonore dans l’air que nous respirons, c’est-à-dire la capacité qu’ont les molécules de ce gaz à diffuser un phénomène oscillatoire tel qu’un bruit, de la parole, une musique ou un chant… Les récits formulés dans ce « <a href="https://ipanadrega.net/chronologie/category/2">petit chemin</a> » sont pour l’essentiel issus d’une captation de ces sonorités indispensables à notre entendement acoustique que transmettent nos <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Oreille">oreilles</a> (perception aérienne ou tympanique) et notre squelette (perception osseuse) à notre cerveau afin de décoder un évènement vibratoire, une perception du monde environnant. Ce principe dit de « transduction » exprime la transformation d’une forme d’énergie (sonore) en une autre (influx nerveux, électrique), d’une grandeur physique en une autre. Un microphone, un haut-parleur, une oreille, sont des <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Transducteur">transducteurs</a> d’énergie ; l’énergie en question, au travers de cette vibration de l’air, permet le transport <em>d’<strong>informations</strong> (sonores)</em>, qui, perçu par un organe récepteur via un vivant, ou de l’un de ses outillements, une <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Enregistrement_sonore">machine enregistreuse</a>, va emmagasiner dans une mémoire ; ces informations seront traitées par les organes décrypteur de la structure vivante ou robotique (l’outil informatisé), afin de les utiliser dans le quotidien de son existence ou la nécessité de sa tâche. La sonorité offerte par les mouvements oscillatoires de l’air que chaque être respire, en plus d’être ce gaz indispensable à la survie de beaucoup de vivants, offre un support de communication commun à beaucoup d’entre eux et permet de se repérer dans l’espace terrestre <span style="background-color:#ffffe0;"><em>(<a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Vitesse_du_son">cette qualité de l’air à transmettre les vibrations est commune à celle de l’eau</a>)</em>.</span></p> <p style="text-align: justify;">Les humains que nous sommes, à travers l’usage des sciences et techniques, comprennent depuis peu que les multiples sonorités de l’air, comme la mouvance de cette matière façonnant chaque existence, ainsi que tout l’univers, s’expriment à travers une multitude de vibrations, d’oscillations, agitations magnétiques, électriques, électromagnétiques, moléculaires, toutes sortes de <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Sp%C3%A9cial:Recherche?search=ph%C3%A9nom%C3%A8nes+ondulatoires&sourceid=Mozilla-search&ns0=1">phénomènes ondulatoires</a>…</p>
<p style="text-align: justify;">La vie se manifeste dans l’expression de ces mouvances très agitées, et d’existence en existence, d’évolution en évolution, le vivant à travers sa forme humaine s’est mis à construire divers outillements, c’est parmi ceux-là qu’ont été mis au point trois modes de représentation d’un phénomène oscillatoire :</p>
<p style="text-align: justify;">> l’<strong><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Oscilloscope">oscillogramme</a></strong> (visualisé typiquement par l’outil de mesure appelé oscilloscope) peut s’apparenter à une vue de devant où toutes les fréquences sont confondues dans l’oscillation, où l’on ne voit que la variation d’<strong>amplitude d’une enveloppe sonore</strong> dans un défilement <strong>temporel</strong>…</p>
<p style="text-align: justify;">> le <strong><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Spectrogramme">spectrogramme</a></strong> <em>(ou spectre sonore)</em>, qui serait une vue de côté, où l’on ne perçoit qu’un spectre de <strong>fréquences</strong> et d’<strong>amplitudes</strong> à un instant précis <em>(analogue à une photographie)</em>.<em><span style="background-color:#ffffe0;"> La définition du terme n’étant pas fixée, le terme « spectrogramme » est souvent utilisé à la place de « sonagramme ».</span></em></p>
<p style="text-align: justify;">> enfin, le <strong><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Sonagramme">sonagramme</a></strong> <em>(ou sonogramme)</em> s’apparente à la représentation graphique idéale d’une sonorité quelconque, comme une vue du dessus permettant d’en détailler ses diverses <strong>fréquences</strong> (échelle verticale en Hertz [Hz]), leurs durées dans le <strong>temps</strong> (échelle horizontale), et leurs <strong>amplitudes</strong> (niveau sonore en décibel ou dB) exprimées ici en niveau de gris (du blanc au noir), l’extrême noir signifiant une sonorité élevée.</p>
<p style="text-align: justify;">> La synthèse des trois modes (vue de devant, de côté, de dessus) permet de réaliser un visuel en relief des sonorités (ou 3D).</p>
<p style="text-align: justify;">Un <strong>sonagramme</strong> est en parfaite analogie avec une partition de musique, en plus précis ; la qualité des représentations graphiques actuelle permet de visualiser précisément la richesse d’un son, comme sa durée dans le temps, et sa forme précise : d’un son pur à une seule fréquence aux sons riches de multiples fréquences superposées exprimant la qualité harmonique de ce même son.</p>
<p style="text-align: justify;">Les bruits de vent, les souffles, les écoulements d’eau, d’une cascade ou de la mer, forment des sonorités très riches qui recouvrent une large partie du spectre sonore, proche d’un « <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Bruit_blanc">bruit blanc</a> » où toutes les fréquences sont émises en même temps, et ont tendance à masquer les sonorités plus simples…</p>
<p style="text-align: justify;">Dans les récits du<em><span style="background-color:#ffffe0;"> </span><a href="https://ipanadrega.net/chronologie/category/2"><span style="background-color:#ffffe0;">volume 2. « petit chemin »</span></a></em>, ce seront particulièrement les chants des oiseaux et des insectes que l’on représentera sous cette forme graphique : l’échelle verticale indique les fréquences des plus basses (en bas) aux plus élevées (en haut), le spectre audible des oreilles humaines étant relativement limité, il se situe entre 16 Hz et 16 kHz environ, les sons en dessous sont considérés comme des infrasons, et les sons au-dessus, des ultra-sons. L’échelle horizontale indique le déroulement du temps.</p>
<div style="margin: 0 auto; display: table;">
<audio controls="" preload="auto"><source src="https://ipanadrega.net/blog/public/2_/0_preface/190801-110759W-5m35.mp3" /></audio>
</div>
<p style="text-align: justify;"><span style="background-color:#ffffe0;"><a class="media-link" href="https://ipanadrega.net/blog/public/2_/0_preface/jpg/190801-110759W-5m35z.jpg"><img alt="" class="media" src="https://ipanadrega.net/blog/public/2_/0_preface/jpg/.190801-110759W-5m35z_m.jpg" style="margin: 0 auto; display: table;" /></a></span></p>
<p style="text-align: justify;"><em>Dans cette vue, le sonagramme montre les sonorités perçues pendant le déplacement d’un marcheur humain pendant 28 secondes. Ici, le microphone de la machine enregistreuse a capté deux sonorités principales : le bruit des pas sur le chemin caillouteux de la forêt, formant des gerbes sonores verticales de 0 à 20 kHz ; vers 5’42, une trace verticale plus foncée indique un raclement du sol intense ; ensuite, de 5’38 à 5’58, l’émergence d’un nuage harmonique entre 10 kHz et 30 kHz, il s’agit de la stridulation d’une Sauterelle (ou apparenté), à 5’45 et à 5’52, elle s’arrête brièvement et reprend aussitôt après <span style="background-color:#ffffe0;">(la majeure partie de ce spectre sonore étant pour l’humain des ultra-sons, il ne les percevra pas, un Chien par contre l’entendra très bien)</span>. Les variations de l’amplitude sont dues au déplacement et l’orientation du microphone au fil de la marche.</em></p>
<p style="text-align: justify;">Plus un <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Son_(physique)">son</a> est émis à une fréquence aiguë, plus il se propagera d’une manière étroite et directive (unidirectionnel), plus le son sera grave, plus il se répandra d’une manière large (omnidirectionnel). Un Éléphant communique avec sa famille en émettant des infrasons (inférieures à 16 Hz), sa corpulence lui permet d’émettre des sonorités très graves capables de se diffuser très largement dans la savane. Une Chauve-souris visualise son environnement en émettant des ultra-sons, une écholocation (ou écholocalisation) analogue aux radars terrestres ou aux sonars des sous-marins fabriqués par les humains.</p>
<div style="margin: 0 auto; display: table;">
<audio controls="" preload="auto"><source src="https://ipanadrega.net/blog/public/2_/0_preface/190805-004001-1h01.mp3" /></audio>
</div>
<p style="text-align: justify;"><a class="media-link" href="https://ipanadrega.net/blog/public/2_/0_preface/jpg/190805-004001-1h01m40.jpg"><img alt="" class="media" src="https://ipanadrega.net/blog/public/2_/0_preface/jpg/.190805-004001-1h01m40_m.jpg" style="margin: 0 auto; display: table;" /></a></p>
<p style="text-align: justify;"><em>Dans ce sonagramme de 3,8 s <span style="background-color:#ffffe0;">(des sonorités presque inaudibles pour l’homme)</span>, on voit la captation de diverses sonorités émises vers 4h du matin : entre 15 kHz et 30 kHz, quatre échos-locations d’une Chauve-souris (Chiroptère) ; la stridulation régulière d’une Sauterelle (ou apparenté) entre 8 kHz et 17 kHz ; et par moments (en dessous), la stridulation éloignée d’un Grillon, vers 5 kHz…</em></p>
<p style="text-align: justify;">La plupart des chants d’oiseaux se situent entre 300 Hz et 20 kHz pour les harmoniques principales, la sonorité de leur langage est commune à la plupart des êtres communiquant de cette manière : une ou plusieurs fréquences porteuses ou dominantes, appelées « formants » (celles qui « forment » l’identité d’une voyelle par exemple) ; elles sont accompagnées plus ou moins d’oscillations harmoniques, dont la tonalité varie d’un individu à l’autre, mais obéissent toujours à un même mode de représentation spécifique à tout langage ; pour les colombins comme la Tourterelle, le roucoulement se situe entre 500 et 700 Hz, c’est une tonalité assez pure (peux d’harmoniques), le Coucou est dans les mêmes tonalités ; les Corneilles, comme tous les corvidés, dont le Geai, émettent des sonorités riches en harmoniques de 300 Hz à 12 kHz, elles nous apportent des sonorités nous paraissant disgracieuses dans la plupart de leurs chants…</p>
<div style="margin: 0 auto; display: table;">
<audio controls="" preload="auto"><source src="https://ipanadrega.net/blog/public/2_/0_preface/200704-174417-2h51m42.mp3" /></audio>
</div>
<p style="text-align: justify;"><span style="background-color:#ffffe0;"><a class="media-link" href="https://ipanadrega.net/blog/public/2_/0_preface/jpg/200704-174417-2h51m42r.jpg"><img alt="" class="media" src="https://ipanadrega.net/blog/public/2_/0_preface/jpg/.200704-174417-2h51m42r_m.jpg" style="margin: 0 auto; display: table;" /></a></span></p>
<p style="text-align: justify;"><em>Sonagramme d’une durée de 20 s, riche en sonorités : vous avez au-dessus les stridulations d’une Sauterelle (de 8 kHz à plus de 20 kHz) ; en dessous, quelques mélodies d’oiseaux indéterminés (autour de 4 kHz), dont un Pouillot véloce dans le dernier tiers ; encore en dessous, des gazouillis clairsemés et tout en bas, le chant d’une Tourterelle (vers 500 Hz)…</em></p>
<div style="margin: 0 auto; display: table;">
<audio controls="" preload="auto"><source src="https://ipanadrega.net/blog/public/2_/0_preface/190809-090126W-17m26.mp3" /></audio>
</div>
<p style="text-align: justify;"><a class="media-link" href="https://ipanadrega.net/blog/public/2_/0_preface/jpg/190809-090126W-17m264r%2Bt.jpg"><img alt="" class="media" src="https://ipanadrega.net/blog/public/2_/0_preface/jpg/.190809-090126W-17m264r+t_m.jpg" style="margin: 0 auto; display: table;" /></a></p>
<p style="text-align: justify;"><em>Ici, entre des harmoniques respiratoires (sinuosités au début et à la fin, entre 8 kHz et 12 kHz), une parole humaine disant « ou il faudra un temps… » ; dans cet extrait de phrase, on peut distinguer les sonorités de la voix en trois sortes de phonèmes : ceux à base de <strong><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Voyelle">voyelles</a></strong> comme « ou, il », puis les <strong><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Consonne">consonnes</a></strong> avec la <strong><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Consonne_sibilante">sifflante</a></strong> du « f » émettant une gerbe harmonique caractéristique, et celle du mot « temps », combinant la <strong><a href="https://fr.wiktionary.org/wiki/plosive">plosive</a></strong> du « t », comme un bruit d’impact, enfin la voyelle de base « en » pauvre en harmoniques ; dans le sonagramme, à la fin du mot « temps », la présence d’une gerbe harmonique est causée par le bruit des pas sur un chemin de graviers que la machine enregistreuse a capté…</em></p>
<p style="text-align: justify;">Dans une captation des vibrations sonores à l’aide de ces <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Enregistrement_sonore">machines enregistreuses</a>, combinant une mémoire de stockage et un <strong><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Transducteur">transducteur</a></strong> d’énergie appelé « microphone », toutes les sonorités sont perçues sans filtre (dans la limite des capacités physiques des transducteurs). Chaque vivant ne cesse de déchiffrer entre l’information utile à un discernement et celle qui ne l’est pas (cette sélection est en partie instinctive, ou innée, génétique, en perpétuelle adaptation au fil du temps)…</p>
<p style="text-align: justify;">(synthèse)<br />
Le langage initié à travers notre propre parole serait (en quelque sorte) un langage de surface (conscient), il s’ajoute aux autres langages nourris d’une information plus vaste, que le corps capte sans que nous en soyons forcément conscients. Une même sonorité, en fait, transporte plus d’informations qu’on ne le soupçonne (ou perçoive consciemment) et c’est pareil pour tous les modes de perceptions sensoriels, notre biologie n’utilise qu’une infime partie des informations disponibles nous permettant de subsister, tout comme la plante n’utilise qu’une infime partie de la lumière du Soleil (qui est aussi un phénomène vibratoire), suffisamment pour l’apport énergétique de sa survie. </p>
<p style="text-align: justify;">(ajout)<br />
<span style="background-color:#ffffe0;">Les récits du « <a href="https://ipanadrega.net/chronologie/category/2">petit chemin</a> » expriment en partie ces débordements sensoriels, ce serait comme une génétique à la recherche d’informations autres que celles habituellement perçues, les prémisses d’une mutation que les outillements du vivant ne cessent de faire avancer, les emballements d’un instinct que notre perception de « surface » a mal compris ? Chacun fait plus ou moins ce même cheminement, sauf que les routes prises divergent d’un vivant à l’autre ; certains s’égarent, d’autres défrichent, ouvrent des passages ; des milliers d’années plus tard, une multitude de traces s’accumulent, et beaucoup finissent par repasser immanquablement là où de lointains ancêtres firent de même, ajoutant un tour à la pelote de laine qu’est l’enfilement du temps sur cette planète ; une mémoire s’ajoute à d’autres mémoires, une vibration à d’autres vibrations, la sonorité enrichie d’un passé ; </span><span style="background-color:#faebd7;">tout cela représente des expressions sonores, une partie des langages du vivant sur cette planète, dans cette nécessité de transmettre de l’information (tout en sachant, bien évidemment, qu’il existe d’autres formes de langages que ceux utilisant l’information sonore, comme les sens : visuels, olfactifs, tactiles, etc.).</span></p>Ah ! l’idée que nous serions séparés de la nature…urn:md5:0bceb5f1d693583037656450452310a22023-12-18T01:54:00+01:002023-12-19T19:44:14+01:00la rédactionScience<p style="text-align: justify;">Ah ! tiens ? Cette idée que nous nous serions séparés de la nature, dans cette « croyance » que notre espèce serait au-dessus des autres ?</p>
<p style="text-align: justify;">Sur France Culture, émission du 16 décembre 2023 : <a href="https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/sciences-chrono/la-nouvelle-alliance-ou-la-chute-de-newton-6884248">La Nouvelle alliance, ou la chute de Newton ?</a></p> <p style="text-align: justify;">Les descriptions du monde que réaliseraient nos sciences ne seraient qu’un point de vue « déformant » et incomplet, inévitablement. Le biais de chacune de nos expressions, scientifiques, philosophiques, religieuses, animistes, artistiques, etc., ne coïncide guère, ou pas, et rares sont les approches ayant tenté une vision holistique englobant tous les points de vues, sans forcément les opposés. Nous ne sommes qu’une expression du vivant, parmi d’autres, ni plus ni moins, et « <em>que nous sommes dans la <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Nature">nature</a> <sup data-footnote-id="gwuw2"><a href="https://ylem.fr/post/4618#footnote-1" id="footnote-marker-1-1" rel="footnote">[1]</a></sup>, pas en dehors </em>». Déjà au XVIIe siècle <a class="ref-post" href="https://ylem.fr/post/4472">Baruch Spinoza</a> (1632-1677), en occident, élaborait cette thèse, que <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Isaac_Newton">Isaac Newton</a> (1642-1727), un peu plus tard, réfuta, semble-t-il, à travers une sorte d’intégrisme scientifique réduisant le monde à une formulation mathématique universelle ?</p>
<p style="text-align: justify;"><span style="background-color:#ffffe0;">Cet aspect est exprimé à travers les narrations réunies sous le vocable « </span><a href="https://ipanadrega.net/"><span style="background-color:#ffffe0;">İpanadrega</span></a><span style="background-color:#ffffe0;"> », et particulièrement dans les volumes : </span><strong><a href="https://ipanadrega.net/chronologie/category/3-4"><span style="background-color:#ffffe0;">3. 4. « singes savants, du robote à la chose »</span></a></strong><span style="background-color:#ffffe0;">, une chronologie de récits entremêlés et indissociables, faits de parcours divers, tout ce que l’on perçoit d’une probable « </span><a href="https://ipanadrega.net/chronologie/tag/%5Bphilosophia%20vitae%5D"><span style="background-color:#ffffe0;">philosophia vitae</span></a><span style="background-color:#ffffe0;"> » du vivant où se mêlent des racontements de « singes savants » croyant savoir, « du robote à la chose », tous les outillements du vivant…</span></p>
<section class="footnotes">
<header>
<h4>Note(s)</h4>
</header>
<ol>
<li data-footnote-id="gwuw2" id="footnote-1"><sup><a href="https://ylem.fr/post/4618#footnote-marker-1-1">^</a> </sup><cite>Étonnamment, l’idée de nature n’existe pas dans la plupart des civilisations d’Asie. Le terme même, est purement d’expression occidentale !</cite></li>
</ol>
</section>Une histoire du mouvement… (extrait)urn:md5:3f71af617a9116af61927922a429fbf62023-12-15T13:40:00+01:002023-12-18T01:52:41+01:00la rédactionExtraits de récits divers<p style="text-align: justify;">Avant, au temps des déplacements lents, il fallait découvrir des territoires vierges…<br />
<em><span style="background-color:#f0fff0;">(on ajoute : à travers cette nécessité irrésistible de se répandre ; il n’y avait guère de gêne pour autrui, les espaces paraissaient vastes ; c’était au temps des premières traces… Mais aujourd’hui, là où les terres semblent toutes conquises, il en est certaines, à peine défrichées, dans notre tête et hors de nous ; par-dessus les sens du corps, il y a ce que le principe vivant qui nous anime ne nous dit pas, ce récit-là [ci-dessous] fut inséré pour préluder comme une introduction à l’égrènement d’autres récits témoignant de ces parcours incertains, sortes de défrichements du dedans et du dehors… de nous.)</span></em></p>
<p style="text-align: center;">(lecture du récit <em>dans sa version finale)</em></p>
<div style="margin: 0 auto; display: table;">
<audio controls="" preload="metadata"><source src="https://ipanadrega.net/blog/public/1_/053/220504-220229mf%2Bp.mp3" /></audio>
</div>
<blockquote>
<p style="text-align: justify;">Oui au plus loin des maisonnées les chemins n’étaient pas plus ordonnés, seulement quelque peu sauvages, d’une manière moins déflorée ; à la place des onctueux passages on avait élagué modérément sans trop d’embarras ; juste le début d’un sentier pour quelques pas maladroits, peut-être, mais suffisants pour un avancement ; voir par-devant, juste parvenir aux champs les plus lointains, au pied des monts, des barrières que l’on atteint, pour une pause jusqu’à demain, pour une pause jusqu’au matin…</p>
</blockquote> <blockquote>
<p style="text-align: justify;">Velléité des transports, oui, ici ce n’était pas urbain, le déplacement se perpétuait à pied et l’on gambadait sur le chemin ; point de véhicules munis de ces formes rondes qui apportent le roulement, là où l’on avait défriché pour le lendemain, pour devancer les progressions suivantes qui attendaient le long du tracé, l’avancée se parcourait de la sorte, par petits bonds, par étapes, par coupes régulières, elle s’engageait peu à peu avec prudence. On ajoutait parfois une sorte d’errance dans la ligne droite, passablement perturbée par la courbure d’un rocher qui faisait ondoyer la route dans son déploiement ; c’était tranquillement que l’on progressait, défrichant pour un cheminement obstiné ; atteindre une côte, atteindre un océan, atteindre un quelconque nirvana, quelque chose dont on rêve en grand, quelques idées que l’on garde du voyage, par petits pas s’en venant, l’avancée se poursuivait paisiblement. Avez-vous vu ces pareils accoutrements déboussoler le moindre voyageur quelque peu délicat qui, dans un nivellement, s’écroule maladroit, à cause de sa dernière foulée ; il avançait si gaillardement qu’une enjambée de travers lui échappa… Cette aventure n’était pas coutumière à ces endroits que l’on avait déflorés, elle innovait vers de nouveaux attraits des au-delàs dont on ne savait ce qu’ils apporteraient, et bien voilà ! maintenant, vous savez, c’est ici et bien là ! Aucun préjudice sinon quelques traits, des coupes transversales sur des formes, arabesques ligneuses démunies, que l’on brisa pour la route pour qu’elle soit unie ; nul embarras ne les interroge en somme dans cet avancement, les hommes ; sans le comprendre peut-être, ils perpétuent les premiers déplacements du vivant, devenu au fil du temps, son premier principe : « trouver le chemin ! Et si on ne le trouve pas, l’inventer en défrichant ! »</p>
</blockquote>
<p><span style="background-color:#faebd7;">Ce récit se trouve dans le volume 1. « İl », peregrinatio, peregrinari : <a href="https://ipanadrega.net/chronologie/post/156">53. [v L] (histoire du mouvement), au plus loin des maisonnées ***</a>, extrait des narrations réunies sous le vocable « </span><a href="https://ipanadrega.net/"><span style="background-color:#faebd7;">İpanadrega</span></a><span style="background-color:#faebd7;"> »…</span></p>Les effets inattendus d’un gazurn:md5:851eb7347cd5c612f48cd746bf5b2f602023-12-09T23:40:00+01:002023-12-10T00:20:33+01:00la rédactionExtraits de récits divers<p><em>(version)</em></p>
<blockquote>
<p style="text-align: justify;">Nous voulons dire par là qu’un gaz c’est élastique et très volatil, mais celui dont on parle, on nage dedans sans le voir, il nous amène de molécule en molécule, par vague, des p’tits efforts mécaniques des vents d’ondes multiples, cette vibrante sensation qui force l’écoute ! La nature nous a surpris il y a maintenant, oh ! quelques milliers d’années ? Ce gaz que l’on respire et refoule sans cesse conserve plus d’un tour dans son sac, en plus de nous aider à vivre, il nous jette au corps les râles des alentours…</p>
</blockquote> <blockquote>
<p style="text-align: justify;">Eh ! m’en vient une souvenance, ce lointain ancêtre tapant sur un os creux intrigué par le bruit, cela a fini par l’intéresser, il a cherché d’autres sons, avec de nouveaux objets, il a frappé le sol, il a frappé sa femme, il a frappé un arbre, il s’est étonné du résultat, le choc, le cri, la résonance, il s’est adressé aux cieux, lui répondit l’orage, il a hélé « écoutez-moi ! », ils se sont retournés et l’ont entouré, il a cogné le plus faible, le bruit n’apparaissait pas extraordinaire, il a tapé d’une pierre sur les formes creuses, ils trouvèrent cela épatant, ils répliquèrent aussi en frappant, le bruit propageait un son, le bruit donnait une vibration, le bruit devenait un rythme, ils échangèrent leurs manières, du dessin aux rêves, des cris et des mouvements apportèrent au-delà des guerres après les combats le cri du chant, le geste de la danse et de la transe, puis le repos bien mérité, autour du feu des siens, la voix modulante accompagnée des choses creuses et sifflantes, cette expression abstraite et sans nom jusqu’à nous devenue « la musique ! »</p>
</blockquote>
<p><span style="background-color:#ffffe0;">Texte transposé et inséré par <a href="https://ipanadrega.net/chronologie/post/2302">scriba</a>, le 20 févr. 2016 dans le volume : <a href="https://ipanadrega.net/chronologie/category/peregrinatio/peuple-innomme">1. « İl » » peregrinatio » peuple innommé</a>, faisant partie des narrations réunies sous le vocable « </span><a href="https://ipanadrega.net/"><span style="background-color:#ffffe0;">İpanadrega</span></a><span style="background-color:#ffffe0;"> » :</span><br />
<em>—> <a href="https://ipanadrega.net/chronologie/post/121">167. les effets inattendus d’un gaz (version 2)</a></em><br />
<em>—> voir texte initial 2007-04-21 04h40 dans : <a href="https://ipanadrega.net/chronologie/post/2331">5. « ajoutements » › récits antérieurs, primitifs, oubliés…, [ 2000 à 2012 ] « zécritures »</a></em></p>Déchéance, il se souvient de ce vieux mendiant… (extrait)urn:md5:b5eab03898ea87e0aae5f057f268f80d2023-12-08T20:38:00+01:002023-12-10T00:21:19+01:00la rédactionExtraits de récits divers<p><em>Du voyage et leurs gens</em></p>
<blockquote>
<p style="text-align:justify">Je me souviens de ce beau jour d’été dans la grande ville,<br />
je vivais alors dans une de ces maisons à roulettes et motorisées, vous savez bien, celles-ci sont très en usages dans les terrains touristiques où l’on campe pendant la période estivale et dans des natures organisées ; elle fut acquise péniblement à force d’un labeur peu apprécié, mais que j’avais trouvé pour commencer mon périlleux voyage. Oh, j’en allais payer le prix, du confort et des désagréments pendant cinq ans.</p>
</blockquote> <blockquote>
<p style="text-align: justify;">C’était vers midi, au moment du repas, cognat à la porte de ma roulotte, un mendiant, un je-ne-sais-quoi, de ces bannis des villes, un malchanceux ; il me demanda « la pièce » pour combler sa faim, commander son litron, je ne savais… Après les quelques mots du salut et sans haine aucune, m’en vient à lui proposer de partager mon repas qu’il accepta avec surprise, son sourire laissait entrevoir encore quelques dents usées par la vie. Je ne me souviens plus de nos échanges de paroles ; ah si ! peut-être, qu’il arrivait du sud et du voyage lui aussi. Il resta à peine une heure…</p>
<p style="text-align: justify;">Au moment de l’au revoir, nous nous embrassâmes sincèrement, c’est moi qui fus surpris cette fois, et il me dit qu’il priera pour moi aux « nostra dona de la mar ». Moi le mécréant, le misanthrope à mes heures, j’étais ému par la simplicité de ce sans-le-sou qui me donna une leçon d’humanité, me réconciliant un temps avec mes semblables… Nos origines nous différenciaient, nos savoirs nous divergeaient, mais qu’importe l’allure de ma roulotte était un signe, j’étais aussi de la route, j’étais des leurs par ce banal geste d’accueil, par ce repas offert, par ces paroles du bonjour sur le seuil, par je ne sais quelle idée, j’étais des leurs sans m’en rendre compte…</p>
</blockquote>
<p><span style="background-color:#ffffe0;">Extrait d’un texte (??) original du 17 sept. 2010, inséré dans les récits réunis sous le vocable « </span><a href="https://ipanadrega.net/"><span style="background-color:#ffffe0;">ipanadrega</span></a><span style="background-color:#ffffe0;"> », le récit entier se situe dans le volume :</span><br />
<em>—> 1. « İl », prolegomena, intermède… : <a href="https://ipanadrega.net/chronologie/post/1044">037. [af İ] déchéance, il se souvient de ce vieux mendiant… (récit transposé)</a><br />
—> version transposée le 4 juin 2017 à 11h38</em></p>Un totem naturel…urn:md5:0f1beff176f383d851eefd415486977b2023-12-01T12:05:00+01:002023-12-15T14:05:41+01:00la rédactionExtraits de récits divers<p>Extirpé des récits regroupés sous le vocable « <a href="https://ipanadrega.net/">İpanadrega</a> », cette description d’un moment, pendant un parcours au milieu d’une forêt, où se révéla au loin un tronc décharné, comme un <strong>Totem</strong>, un <strong>Totem naturel</strong>…</p> <p style="text-align: justify;"><strong>Extrait :</strong></p>
<p style="text-align: justify;"><em><span style="background-color:#ffffe0;">(pendant une légère brise, il filme maladroitement son parcours et se laisse guider par l’ambiance inhabituelle de la forêt, comme si elle voulait lui montrer quelque chose…)</span></em></p>
<div style="margin: 0 auto; display: table;">
<video controls="" height="300" preload="auto" width="400"><source src="https://ipanadrega.net/blog/public/2_/100923-S-V/100923-1657.m4v" /></video>
</div>
<blockquote>
<p style="text-align: justify;">Me promenant le long de ces lisières de forêt à moitié ombragées, aux coupes fraîches, dans des sentiers descendants dans une vallée… surgit au loin un arbre décharné, sans branches, d’un tronc unique, foudroyé, isolé là et mort… laissé comme une pâture au vent ; autour, des friches… que l’on… qu’est-ce qu’ils lui ont fait à cet arbre ? Rien ! Il reste là, non coupé, étrange ? Un totem naturel où s’incrustent sûrement, des petites bêtes diverses et variées, oiseaux, coucous, hiboux, tout ce que vous voulez ; trône superbe pour le rapace foudroyant (ou : leurs appâts foudroyants) ; tout autour, une friche désolée…</p>
</blockquote>
<p style="text-align: center;"><a class="media-link colorbox_zoom cboxElement" href="https://ipanadrega.net/blog/public/2_/100923-S-V/jpg/100923-1659w.jpg" rel="colorbox-1"><img alt="" class="media" height="347" src="https://ipanadrega.net/blog/public/2_/100923-S-V/jpg/.100923-1659w_m.jpg" style="margin: 0px auto; display: table;" width="490" /></a><em>Au loin, le totem…</em></p>
<p>…</p>
<p>Le récit complet sur le site web « ipanadrega » : <strong><a href="https://ipanadrega.net/chronologie/post/2035">23 sept. 2010, un totem naturel</a></strong></p>
<p><em>(Décrit <span class="post-author">par <a href="https://ipanadrega.net/chronologie/post/2302">symbiota</a>, en marchant, </span><span class="post-date">le 23 sept. 2010, volume </span><span class="post-cat"><a href="https://ipanadrega.net/chronologie/category/2">2. « petit chemin »</a> » <a href="https://ipanadrega.net/chronologie/category/2/partie-1">partie 1 - 2010 à 2019</a>)</span></em></p>Inventeurs ?urn:md5:d33fce179398d09c1c6b6ef23d5be03f2023-11-30T19:14:00+01:002023-12-01T00:55:48+01:00la rédactionDu vivant<p style="text-align: justify;"><em>Parce que nous ne sommes pas les inventeurs de nous-mêmes</em>, en aucun cas nous ne pouvons reproduire à l’identique un semblable à soi-même, à ce que nous sommes, ce sera toujours un androïde, un robot, une machine… Le réaliser à notre image restera vain ! Ce serait absurde et illusoire, d’ailleurs tout amène à considérer cela comme impossible. Nous ne comprenons pas encore tout à fait pourquoi l’on éprouve le besoin de construire toutes ces machines, ces outillements : pour notre seul confort, notre seule subsistance ?</p> <p style="text-align: justify;">Le processus « vivant » qui nous anime nous reste inconnu, secret, en partie invisible, indicible, hors de portée ; certains y mettent des croyances conduisant à « croire » à une divinité ou un dieu unique, en oubliant ou ignorant que tout en nous, interroge nos gènes, ils contiennent très certainement quelques programmes nous poussant à élaborer ces « croyances » ; pour nous apaiser, seulement ?</p>
<p style="text-align: justify;">Non, le mystère de la vie restera longtemps une énigme à ceux qu’elle construit, elle leur permet de s’animer dans une apparente autonomie (de surface), cette petite étincelle (pourrait-on dire), nous poussant dans une existence dont le but ultime semble nous être révélé peu à peu ? Mais tout cela ne pourrait être qu’illusion, un miroir aux alouettes, un leurre adroit, il y aurait de quoi encore apaiser la bête, cet amas de chairs, ce conglomérat biologique multicellulaire construit pour supporter en son sein cette sorte de conscience de soi, incapable d’appréhender ce qui le construit ? Cette conscience-là ne semble pas faite pour cela, elle n’en a pas (encore) les capacités ni le génie, ce que l’on prête à la vie (cette bâtisseuse d’entités animées), la force, l’énergie permettant d’animer les formes existentielles que nous sommes !</p>
<p style="text-align: justify;">Elle nous invente déjà ! Pourquoi devrait-elle délivrer à ses progénitures le secret de son invention ? Quelle en serait sa finalité ? Nous amener à comprendre cette manie que nous avons, de construire des compléments de nous-mêmes (toutes nos machineries) semble exprimer une autre fonction, à travers ce leurre, devenu une évidence, que nous n’osons « croire » ? Voilà ! C’est cela, le génie : « La croyance », pour nous masquer l’essentiel… Risibles hommes que nous sommes, notre agitation aurait une fin, un but, dans l’expérience que réalise la chose vivante… au creux de nous !</p>
<p style="text-align: justify;">(à suivre)</p>
<p style="text-align: justify;">Pour aller plus loin sur cette réflexion, divers récits regroupés dans le volume suivant :</p>
<p><strong><a href="https://ipanadrega.net/chronologie/category/3-4">3. 4. « singes savants, du robote à la chose »</a></strong></p>
<blockquote>
<p><em>une chronologie de récits entremêlés et indissociables, faits de parcours divers, tout ce que l’on perçoit d’une probable philosophia vitae où se mêlent des racontements de « singes savants » croyant savoir, « du robote à la chose », tous les outillements du vivant…</em></p>
</blockquote>
<p><span style="background-color:#f0fff0;">—> version PDF : </span><strong><a href="https://ipanadrega.net/blog/public/3-4_/Ipanadrega-3-4-220707.pdf"><span style="background-color:#f0fff0;">Ipanadrega-3-4-220707.pdf</span></a></strong></p>Vous étonnerez-vous de cette interrogation ?urn:md5:e2f5b0087ac4f159b59946895ccd146d2022-12-07T18:12:00+01:002023-01-15T18:39:33+01:00la rédaction <p style="text-align: justify;">Ne vous êtes-vous pas un jour demandé, à propos de toutes ces recherches où l’on tente de comprendre les mécanismes nous construisant, ceux à l’origine de notre animation, pourquoi donc nous interrogeons-nous tant sur leur compréhension ; la genèse de notre provenance ressemble à un oubli, quelque chose nous demanderait-il de retrouver l’information ultime de notre construction, cette ignorance que l’on ne cesse de s’efforcer de vaincre à travers nos sciences et toutes autres disciplines. Pourquoi une partie des vivants que nous sommes cherche-t-elle tant à vouloir décrypter la source de nos origines, pour quelle raison cette information se serait perdue, oubliée, abandonnée, au fil du temps ? Quand la nécessité de survivre nous laisse le temps de penser à autre chose, nous sommes fréquemment confrontés à ce questionnement : « nous soucions-nous du fonctionnement de nos viscères ? » On vous affirmerait aussitôt que « le mécanisme vivant, en nous, s’en occupe ! » Mais ce n’est pas suffisant, disons-le autrement : « notre conscience semble surnager au-dedans de notre être pour nous aider à subsister afin de trouver un confort, une aisance, et dans leurs maintiens, nous permet d’avoir le temps de rechercher le mystère qui nous anime, la petite étincelle l’ayant provoqué, tout en s’étonnant du mécanisme biologique qui nous pousse à s’interroger de la sorte ? »</p>
<p style="text-align: justify;">Les récits regroupés sous le vocable <span style="background-color:#ffffe0;">« </span><strong><a href="https://ipanadrega.net/"><span style="background-color:#ffffe0;">İpanadrega</span></a></strong><span style="background-color:#ffffe0;"> »</span> expriment cet étonnement dans une suite de questionnements diffus irrésolus !</p>
<p style="text-align: justify;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/dessins/Sang-07---Bonhom.-se-pensant.jpg"><img alt="" class="media" height="350" src="https://ylem.fr/blog/public/dessins/.Sang-07---Bonhom.-se-pensant_m.jpg" style="margin: 0px auto; display: table;" width="221" /></a></p>
<p><strong>Autre point de vue</strong></p>
<p style="text-align: justify;">Ajoutons cet autre regard afin d’essayer de répondre à ces interrogations, serions-nous tentés de réaliser une sorte de <em><span style="background-color:#ffffe0;">Cinématographie du réel </span>?</em></p>
<p style="text-align: justify;">Réaliserions-nous un jour un film où l’on montrerait le point de vue de tous, ou de la plupart, l’expression de chacun, des hommes, certes, mais aussi surtout, de la tortue, de la cigale, de la fourmi ou de la fourmilière, des vers de terre, du moindre microbe, de l’acarien de passage ou de la mouette rieuse, des arbres évidemment, encore, de cette marguerite sur le chemin des passages, etc., le point de vue des vivants, à l’aide d’une sorte de caméra s’adaptant en permanence à l’échelle, la vision de chacun, décrivant un même évènement, l’existence de chacun, le point de vue de tous ; demandons-leur la façon dont ils verraient cela, ou du moins, essayons, faisons en sorte que cela advienne : établir un dialogue entre vivants, dans la mesure du possible, rejoindre ce qui semble se disjoindre, recoller les morceaux d’un puzzle oublié, celui de nos origines, là où il semblerait que pour tous les vivants nos plus lointains ancêtres furent les mêmes…</p>Les récits regroupés sous le vocable « İpanadrega » sont finalisésurn:md5:b13611fa4f54eea7f06c0a41c128fc852022-06-09T20:57:00+02:002022-12-12T13:49:33+01:00la rédaction <p>Nous vous informons que la réalisation des récits réunis sous le vocable « <strong>İpanadrega</strong> » est dorénavant terminée ; l’ensemble est disponible sur le site web : < <strong><a href="https://ipanadrega.net">ipanadrega.net</a></strong> ></p>
<p>Tous les volumes sont accessibles au format PDF directement en allant dans la chronologie <em><span style="background-color:#f0fff0;">(qui inclut par ailleurs les sources sonores, graphismes, textes originaux, éléments de toutes sortes ayant servi à réaliser chaque ouvrage)</span></em>. À chaque description des volumes, vous avez en en-tête le lien vers chaque document PDF :</p>
<ul>
<li class="li3"><a href="https://ipanadrega.net/chronologie/category/0">0. ὕλη</a></li>
<li><a href="https://ipanadrega.net/chronologie/category/1">1. « İl »</a></li>
<li><a href="https://ipanadrega.net/chronologie/category/2">2. chemin</a></li>
<li><a href="https://ipanadrega.net/chronologie/category/3-4">3. 4. singes ∞ robotes</a></li>
<li><a href="https://ipanadrega.net/chronologie/category/5">5. ajouts</a></li>
</ul>
<p style="text-align: justify;">Un « <strong><a href="https://ipanadrega.net/pages/a-propos">à propos</a></strong> » exprime en détail le pourquoi du comment de ces récits, où l’on raconte entre autres, que « rien n’y est à vendre, tout est donné et mis à la disposition de chacun, faites-en ce que vous voudrez ! »</p>
<p><a href="https://ylem.fr/edit/">lire la suite</a></p>Chants remarqués autour de soi !urn:md5:5a88e2357a7fce0acc71dd6254568ffc2022-04-18T18:20:00+02:002024-02-11T16:08:34+01:00la rédactionSonorités <p style="text-align: justify;">Sonagrammes des chants du vivant (oiseaux, insectes…) de la terre (vent, eau, bruissements…)<br />
Les sonorités à écouter correspondantes seront ajoutées au fil du temps…</p>
<p style="text-align: justify;"><em>La collecte de ces sonorités est décrite au début dans les récits regroupés sous le vocable <a href="https://ipanadrega.net/chronologie/category/2">« İpanadrega », volume « deuxièmement », petit chemin…</a> et ailleurs, au fin du temps. </em></p>
<p style="text-align: justify;"><em>La richesse des représentations est telle, qu’une sélection des sonorités les plus remarquables à été réalisée et sera déposée ici peu à peu. Cette synthèse se compose plusieurs centaines de sons collectés pendant trois années : <a class="ref-post" href="https://ylem.fr/post/4501">2019</a>, <a class="ref-post" href="https://ylem.fr/post/4502">2020</a>, <a class="ref-post" href="https://ylem.fr/post/4503">2021</a></em>.</p>
<p style="text-align: justify;">Autant que possible, les représentations seront à la fois graphiques, sous forme de sonagrammes, et audio avec l’ajout de l’échantillon sonore correspondant, adjoint ensuite d’une visualisation audiométrique (temporalité, hauteur des sons en Hertz [Hz], intensité en décibel [dB]) quand cela sera possible…</p>
<p style="text-align: justify;">Vous trouverez à cette adresse une petite aide technique pour expliquer ce que représentent ces analyses sonores (à la fois de teneur scientifique, esthétique, affective et langagière) : <a href="https://ipanadrega.net/chronologie/post/2293">[ notice ] visualiser les sonorités</a><br />
Une autre définition ici : <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Sonagramme">Sonagramme</a> (wikipedia)</p>
<p style="text-align: justify;">La finalité de ces explorations tente de discerner au mieux ces informations contenues dans chaque sonorité, et idéalement, en traduire un bout, du langage de chacun des vivants côtoyés dans ces analyses ; voire même aussi, d’y ajouter du vent, de l’eau, et tout chuintement pouvant faire l’objet d’une illustration graphique…</p>Chants remarqués autour de soi - 2019urn:md5:003905368cd15ab982f51ec8e51f8c032022-04-17T18:13:00+02:002024-02-11T16:36:37+01:00la rédactionSonorités <p><strong>15 mai 2019</strong></p>
<div style="margin: 0 auto; display: table;">
<audio controls="" preload="auto"><source src="https://ylem.fr/blog/public/2_/190515-S/190515-1942-10m03re.mp3" /></audio>
</div>
<p style="text-align: center;">Chants d’oiseaux dans la forêt, au fil des pas…</p>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/190515-S/jpg/190515-1942-10m03re.jpg"><img alt="Pouillot véloce" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/190515-S/jpg/.190515-1942-10m03re_m.jpg" /></a>
<figcaption>Pouillot véloce</figcaption>
</figure>
<p>…</p>
<p><strong>25 mai 2019, 14h58</strong></p>
<div style="margin: 0 auto; display: table;">
<audio controls="" preload="auto"><source src="https://ylem.fr/blog/public/2_/190525-S/190525-1458W.mp3" /></audio>
</div>
<p style="text-align: center;">chants d’oiseaux (??) dans la forêt, au fil des pas…</p>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/190525-S/jpg/190525-1458W-0m05r.jpg"><img alt="chants à 0'05'', pendant 30''" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/190525-S/jpg/.190525-1458W-0m05r_m.jpg" /></a>
<figcaption>de 0’05 à 0’36, chant du Rossignol philomèle et d’un Rougegorge…</figcaption>
</figure>
<p>…</p>
<p><strong>25 mai 2019, 15h07</strong></p>
<div style="margin: 0 auto; display: table;">
<audio controls="" preload="auto"><source src="https://ylem.fr/blog/public/2_/190525-S/190525-1507Wr.mp3" /></audio>
</div>
<p style="text-align: center;">Chants d’oiseaux, au fil des pas…</p>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/190525-S/jpg/190525-1507-3m31-1.jpg"><img alt="" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/190525-S/jpg/.190525-1507-3m31-1_m.jpg" /></a>
<figcaption>Mésange charbonnière, à 3’31”</figcaption>
</figure>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/190525-S/jpg/190525-1507-3m54r.jpg"><img alt="Mésange charbonnière, à 3'54''" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/190525-S/jpg/.190525-1507-3m54r_m.jpg" /></a>
<figcaption>Mésange charbonnière, à 3’54”</figcaption>
</figure>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/190525-S/jpg/190525-1507-3m54rz.jpg"><img alt="Mésange charbonnière, zoom à 3'54''" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/190525-S/jpg/.190525-1507-3m54rz_m.jpg" /></a>
<figcaption>Mésange charbonnière, zoom à 3’54”</figcaption>
</figure>
<p>Vues audiométriques :</p>
<p style="text-align: center;">
<!--DEBUT DE LA GALERIE-->
<ul class="galleryinsert" style="padding-left:0px">
</ul>
<!--FIN DE LA GALERIE-->
<p>…</p>
<p><strong>25 mai 2019, 15h32</strong></p>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/190525-S/jpg/190525-1532-2m51r.jpg"><img alt="" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/190525-S/jpg/.190525-1532-2m51r_m.jpg" /></a>
<figcaption>Symphonie oiselière, de 2’51 à 3’16, chants d’oiseaux entremêlés ; trilles harmoniques jusqu’à 14 kHz à 2’52 et 3’14 d’un Rossignol philomèle ; un Pouillot véloce à partir de 2’58 ; en fond sonore, les stridulations continues du Grillon vers 4,8 kHz…</figcaption>
</figure>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/190525-S/jpg/190525-1532-3m047m.jpg"><img alt="" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/190525-S/jpg/.190525-1532-3m047m_m.jpg" /></a>
<figcaption>zoom du sonagramme précédent, vers 3’04 : un trille grave en bas « dududududu ! » (2 kHz) du Rossignol philomèle ; au-dessus les notes espacées du Pouillot véloce ; de petites virgules très jolies avant le trille…</figcaption>
</figure>
<p>Vues audiométriques :</p>
<!--DEBUT DE LA GALERIE-->
<ul class="galleryinsert" style="padding-left:0px">
</ul>
<!--FIN DE LA GALERIE-->
<p>…</p>
<p><strong>25 mai 2019, 15h39</strong></p>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/190525-S/jpg/190525-1539-1m162r.jpg"><img alt="" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/190525-S/jpg/.190525-1539-1m162r_m.jpg" /></a>
<figcaption>de 1’16 à 1’26, Mésange bleue et Grillon</figcaption>
</figure>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/190525-S/jpg/190525-1539-1m348r.jpg"><img alt="" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/190525-S/jpg/.190525-1539-1m348r_m.jpg" /></a>
<figcaption>Vocalises d’oiseaux, à 1’34, le chant du Grillon, très présent, mêlé aux gazouillements, dont une Mésange bleue, forme comme une partition de musique, à la manière des hommes, qui a copié l’autre ?</figcaption>
</figure>
<p>Vues audiométriques :</p>
<!--DEBUT DE LA GALERIE-->
<ul class="galleryinsert" style="padding-left:0px">
</ul>
<!--FIN DE LA GALERIE-->
<p>…</p>
<p><strong>25 mai 2019, 16h20</strong></p>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><em><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/190525-S/jpg/190525-1620-4m23r.jpg"><img alt="" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/190525-S/jpg/.190525-1620-4m23r_m.jpg" /></a> </em>
<figcaption>à 4’23, sur une durée de 50 s, le chant le plus grave dit à peu près « turludidé, turlidiluu… », un Loriot ? (répété 4 fois en variant, tonalité vers 2 kHz), au moins deux autres chants aux tonalités supérieures…</figcaption>
</figure>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><em><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/190525-S/jpg/190525-1620-4m305.jpg"><img alt="" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/190525-S/jpg/.190525-1620-4m305_m.jpg" /></a> </em>
<figcaption>zoom à 4’30, Rougegorge, Loriot, Pouillot siffleur en arrière plan…</figcaption>
</figure>
<p>Vues audiométriques :</p>
<!--DEBUT DE LA GALERIE-->
<ul class="galleryinsert" style="padding-left:0px">
</ul>
<!--FIN DE LA GALERIE-->
<p><em>…</em></p>
<p><strong>17 juin 2019, 19h27</strong></p>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/190617-S/jpg/190617-1927-8m12r.jpg"><img alt="" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/190617-S/jpg/.190617-1927-8m12r_m.jpg" /></a>
<figcaption><em>à 8’12, chants d’un Rossignol philomèle au loin, sous celui du Grillon…</em></figcaption>
</figure>
<p>…</p>
<p><strong>24 juillet 2019, 14h44</strong></p>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/190724-S/jpg/190724-0835W-14m44r.jpg"><img alt="Stridulations de Sauterelles, en bas, quelques vocalises d'un oiseau" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/190724-S/jpg/.190724-0835W-14m44r_m.jpg" /></a>
<figcaption>Stridulations de Sauterelles, en bas, quelques vocalises d’un oiseau (??) sous le chant du Grillon</figcaption>
</figure>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/190724-S/jpg/190724-0835W-14m456zr.jpg"><img alt="" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/190724-S/jpg/.190724-0835W-14m456zr_m.jpg" /></a>
<figcaption>Zoom : Sauterelles, quelques vocalises d’un oiseau (??) sous le chant du Grillon</figcaption>
</figure>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/190724-S/jpg/190724-0835W-7m31r.jpg"><img alt="" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/190724-S/jpg/.190724-0835W-7m31r_m.jpg" /></a>
<figcaption><em>de 7’31 à 7’38, chant d’un Chardonneret élégant ?</em></figcaption>
</figure>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/190724-S/jpg/190724-0835W-8m44r.jpg"><img alt="" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/190724-S/jpg/.190724-0835W-8m44r_m.jpg" /></a>
<figcaption><em>de 8’44 à 8’53, chant d’un Chardonneret élégant ?</em></figcaption>
</figure>
<p>…</p>
<p><strong>27 juillet 2019, 16h</strong></p>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/190727-S/jpg/190727-160042W-5m58r.jpg"><img alt="" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/190727-S/jpg/.190727-160042W-5m58r_m.jpg" /></a>
<figcaption>De 5’58 à 6’09, chants de Criquets, Grillons et un Oiseau (??)</figcaption>
</figure>
<p> </p>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/190727-S/jpg/190727-160042W-5m58zr.jpg"><img alt="" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/190727-S/jpg/.190727-160042W-5m58zr_m.jpg" /></a>
<figcaption>Zoom de 5’58 à 6’04, l’oiseau (??) module sur la tonalité des Grillons…</figcaption>
</figure>
<p> </p>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/190727-S/jpg/190727-160042W-6m15zr.jpg"><img alt="" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/190727-S/jpg/.190727-160042W-6m15zr_m.jpg" /></a>
<figcaption><em>Zoom de 6’15 à 6’18, enchevêtrements de deux chants de Grillons et celui de l’oiseau </em>(??)</figcaption>
</figure>
<p> </p>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/190727-S/jpg/190727-160042W-6m44r.jpg"><img alt="" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/190727-S/jpg/.190727-160042W-6m44r_m.jpg" /></a>
<figcaption>Vocalises d’oiseau (??), sur le chant de Grillons et de Criquets…</figcaption>
</figure>
<p> </p>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/190727-S/jpg/190727-160042W-7m04zr.jpg"><img alt="" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/190727-S/jpg/.190727-160042W-7m04zr_m.jpg" /></a>
<figcaption>À 7’04, suite de « tuite ! », un Pouillot véloce, probablement ?</figcaption>
</figure>
<p> </p>
<p><strong>1er août 2019, 10h53</strong></p>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/190801-S/jpg/190801-105340-0m48r.jpg"><img alt="" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/190801-S/jpg/.190801-105340-0m48r_m.jpg" /></a>
<figcaption>Vocalises (??)</figcaption>
</figure>
<p> </p>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/190801-S/jpg/190801-114020-0m0r.jpg"><img alt="" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/190801-S/jpg/.190801-114020-0m0r_m.jpg" /></a>
<figcaption>Deux chants superposés (??)</figcaption>
</figure>
<p> </p>
<p><strong>21 août 2019, 18h58</strong></p>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/190821-S/jpg/190821-1858-40m125r.jpg"><img alt="" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/190821-S/jpg/.190821-1858-40m125r_m.jpg" /></a>
<figcaption>Chants de Sauterelles, en bas, le cri du Geai…</figcaption>
</figure>
<p> </p>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/190821-S/jpg/190821-1858-40m157r.jpg"><img alt="" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/190821-S/jpg/.190821-1858-40m157r_m.jpg" /></a>
<figcaption>Zoom : chants de Sauterelles, en bas à droite, le cri du Geai ; les éclaircissements sont des recouvrements temporels en opposition de phase des deux stridulations, cela provoque un phénomène d’annulation sonore amusant là où le microphone a capté les sonorités…</figcaption>
</figure>
<p> </p>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/190821-S/jpg/190821-1858-41m226r.jpg"><img alt="zoom, chants de Sauterelles" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/190821-S/jpg/.190821-1858-41m226r_m.jpg" /></a>
<figcaption>Zoom, deux chants de Sauterelles se superposent… et s’annulent (parce qu’opposés)</figcaption>
</figure>
<p> </p>
<p><strong>29 novembre 2019, 16h26</strong></p>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/191129-S/jpg/191129-162636-2m32r.jpg"><img alt="au début, harmoniques d'une respiration humaine asthmatique" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/191129-S/jpg/.191129-162636-2m32r_m.jpg" /></a>
<figcaption>Au début, harmoniques d’une respiration humaine asthmatique</figcaption>
</figure>
<p> </p>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/191129-S/jpg/191129-162636-3m53r.jpg"><img alt="le chant d'une Sittelle" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/191129-S/jpg/.191129-162636-3m53r_m.jpg" /></a>
<figcaption>Sur une voix humaine, le chant d’une Sittelle torchepot, les vocalises ont la forme d’un bémol</figcaption>
</figure>
<p> </p>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/191129-S/jpg/191129-163558-3m297r.jpg"><img alt="au début, en disant « un ami… »" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/191129-S/jpg/.191129-163558-3m297r_m.jpg" /></a>
<figcaption>Au début, voix disant « un ami… » et l’oiseau s’envole…</figcaption>
</figure>
<p> </p>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/191129-S/jpg/191129-163558-3m29zr.jpg"><img alt="zoom, en disant « un ami… »" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/191129-S/jpg/.191129-163558-3m29zr_m.jpg" /></a>
<figcaption>Zoom, voix disant « un ami… » (hasard acoustique étonnant)</figcaption>
</figure>
<p>…</p>
<p><em>à suivre les années 2020 et 2021…</em></p>
<p> </p>Chants remarqués autour de soi - 2020urn:md5:0deacac14da52f50d79d899488859a2f2022-04-17T17:19:00+02:002024-02-11T16:08:24+01:00la rédactionSonorités <p style="text-align: center;"><span style="color:#ff0000;"><strong><span style="background-color:#faebd7;">[ mise à jour en cours ]</span></strong></span></p>
<p><strong>19 mars 2020</strong></p>
<p><em>(à 13’45) </em></p>
<div style="margin: 0 auto; display: table;">
<audio controls="" preload="auto"><source src="https://ylem.fr/blog/public/2_/200319-S/200319-134559.MP3" /></audio>
</div>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/200319-S/jpg/200319-134559-0m05r.jpg"><img alt="Pinson dans les arbres" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/200319-S/jpg/.200319-134559-0m05r_m.jpg" /></a>
<figcaption>de 0’05 à 0’32, un Pinson dans les arbres, discute avec un autre Pinson…</figcaption>
</figure>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/200319-S/jpg/200319-134559-0m17r.jpg"><img alt="Pinson des arbres" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/200319-S/jpg/.200319-134559-0m17r_m.jpg" /></a>
<figcaption>zoom de 0’17 à 0’24, Pinson des arbres et (??)</figcaption>
</figure>
<p><em>(à 13’48) </em></p>
<div style="margin: 0 auto; display: table;">
<audio controls="" preload="auto"><source src="https://ylem.fr/blog/public/2_/200319-S/200319-134831.MP3" /></audio>
</div>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/200319-S/jpg/200319-134831-0m005r.jpg"><img alt="Mésange charbonnière" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/200319-S/jpg/.200319-134831-0m005r_m.jpg" /></a>
<figcaption>de 0’00 à 0’34, une Mésange charbonnière…</figcaption>
</figure>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/200319-S/jpg/200319-134831-0m005zr.jpg"><img alt="zoom de 0’00 à 0’10" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/200319-S/jpg/.200319-134831-0m005zr_m.jpg" /></a>
<figcaption>zoom de 0’00 à 0’10</figcaption>
</figure>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/200319-S/jpg/200319-134831-0m42r.jpg"><img alt="de 0’42 à 1’05, variations de la Mésange" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/200319-S/jpg/.200319-134831-0m42r_m.jpg" /></a>
<figcaption>de 0’42 à 1’05, variations de la Mésange par-dessus le chant du Pinson…</figcaption>
</figure>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/200319-S/jpg/200319-134831-1m064r.jpg"><img alt="de 1’06 à 1’16" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/200319-S/jpg/.200319-134831-1m064r_m.jpg" /></a>
<figcaption>de 1’06 à 1’16, peut-être parce qu’elle se sent écoutée, elle vocalise par-dessus le chant du Pinson dans l’arbre ; aux fréquences les plus basses, un autre chant, ou est-ce toujours elle ?</figcaption>
</figure>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/200319-S/jpg/200319-134831-2mr.jpg"><img alt="de 2’00 à 2’38, elle aussi, elle fait de « l’art moderne !" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/200319-S/jpg/.200319-134831-2mr_m.jpg" /></a>
<figcaption>de 2’00 à 2’38, elle aussi, elle fait de « l’art moderne !</figcaption>
</figure>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/200319-S/jpg/200319-134831-2m14r.jpg"><img alt="zoom de 2’14 à 2’25, pièce sonore offerte" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/200319-S/jpg/.200319-134831-2m14r_m.jpg" /></a>
<figcaption>zoom de 2’14 à 2’25, pièce sonore offerte, « un cadeau d’la vie », qu’elle dit !</figcaption>
</figure>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/200319-S/jpg/200319-134831-2m15r.jpg"><img alt="de 2’13 à 2’52" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/200319-S/jpg/.200319-134831-2m15r_m.jpg" /></a>
<figcaption>de 2’13 à 2’52</figcaption>
</figure>
<p>…</p>
<p><em>(paroles et sonorités en marchant – 19 mars 2020 à 13h57)</em></p>
<p><span style="background-color:#faebd7;">—> durée : 34’54</span></p>
<p style="text-align: justify;">33’01 (une Abeille s’approche du microphone de la machine enregistreuse ; un oiseau voit la scène, et s’en émeut d’un chant circonspect !)</p>
<figure style="margin: 0 auto; display: table;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/2_/200319-S/jpg/200319-135716-33m02zr.jpg"><img alt="" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/2_/200319-S/jpg/.200319-135716-33m02zr_m.jpg" /></a>
<figcaption>de 33’02 à 33’15, visite de l’Abeille (son bzzz émet des harmoniques jusqu’à 8,2 kHz) et un chant d’oiseau (??) juste au-dessus « ii lidu tsi li duu »…</figcaption>
</figure>
<p style="text-align: justify;">…</p>Préalables infiniesurn:md5:055dacb1dde87ef1f363268cdcd5decf2021-02-27T10:30:00+01:002021-05-21T09:25:26+02:00la rédactionpréalables<p style="text-align: justify;"><em>(récit extrait de : <strong><a href="https://ipanadrega.net/">İpanadrega</a></strong>, préalable du 27 févr. 2021, vers 10h30)</em></p>
<p style="text-align: justify;">« À tenter de déterminer tout ce qui fut nécessaire pour que vous puissiez exister, demande d’effectuer une remontée dans le temps vers les origines présumées d’une matière dont vous êtes construits, entre autres… Mais cela ne semble pas suffisant ? Manquerait-il quelque chose, quelques plans cachés que l’on suppose, la petite étincelle de votre animation ? »<br />
« Ainsi, trouverions-nous une infinité de préalables, chacun nécessitant quelques prémices à leur émergence ; est-ce cela le véritable infini d’un temps indéterminé qui jamais ne se finit, qui jamais n’eut de début ? Quand bien même il y aurait une limite, que trouverait-on avant, que trouverait-on après ? Une chose irrésolue, un néant ? »</p> <p style="text-align: justify;">« Pourquoi alors, en vient-on toujours à se poser ce genre de question, comme si quelque chose fut oublié, perdu à jamais ? Est-ce un leurre ? Le leurre permanent qui habite toutes les sciences des humains, ils recherchent tant cela, cet absolu, une réponse à toutes les choses ou le questionnement du vivant lui-même dans son entièreté ? Il n’y aurait donc pas de réponse, une quête vaine ce n’est plus une quête, ce serait la mécanique bien rodée d’un principe qui t’aide à exister et te pousse à vivre ; il te régule, t’éduque, te pérennise, toi tu te multiplies à l’outrance en dissipant une énergie sans cesse dégradée, quelque chose au-dedans de toi te demande de “voir comment ça fait” une pareille existence ; ensuite, explorer d’autres voies, d’autres champs, tous les possibles, et même l’inaccessible, se perdre et renaître sous d’autres formes, tant que dure cette agitation frénétique, des corps célestes aux plus infimes, particules élémentaires à particules dépositaires d’une mémoire immatérielle, juxtaposée entre deux mondes ; l’un est visible, pressenti, constaté, l’autre est indéfini, soupçonné, envisagé, imaginé, un lien semble les unir, ils sont le pendant d’un même ressort, la vibration des corps, comme la lumière, la vibration sonore, le feu, du soleil ou d’une brousse, d’un fourneau, ou d’une brèche qui éclate ; la teneur est la même, une agitation, ce pour quoi tu vis, la raison de ton existence, ici ! »</p>
<blockquote>
<p style="text-align: justify;">Tout cela forge les préalables de ta simple vie, est-ce que cela te suffit ? Est-ce pour cela que tu l’écris ? Ah ! y répondre n’est pas le moindre de tes soucis…</p>
<p style="text-align: justify;">Elle résonne (raisonne) au creux de toi, la petite voix indéfinie…</p>
</blockquote>Récits temporels…urn:md5:7c033fb7ea96192ca89afb4b6ad26ce42021-02-10T09:46:00+01:002021-05-15T08:54:15+02:00la rédactionpréalables<p style="text-align: justify;"><em>(récit extrait de : <strong><a href="https://ipanadrega.net/">İpanadrega</a></strong>, préalable du 10 févr. 2021)</em></p>
<p style="text-align: justify;">De quoi s’agit-il ?</p>
<blockquote>
<p style="text-align: justify;">Ce sont des récits temporels (pour l’instant, uniquement stockés dans les mémoires des machines électronisées, de robotes, sur les réseaux webeux pareillement électronisés, de papier ensuite, ou en quelques sonorités), au moment où ils sont crachés ils auront l’aspect que vous lirez, demain, ce sera un peu différent, avec des ajouts, des redites, des regrets supprimés ajoutés modifiés…</p>
</blockquote> <blockquote>
<p style="text-align: justify;">Un enchaînement sans fin ni d’une quelconque littérature, vraiment, ni d’un autre genre, assurément, il vaudrait mieux s’y faire à ces récits débonnaires, impossibles à véritablement les terminer, ceux-là, ou alors il faudrait tuer le temps, arrêter absolument la source, la tarir. À en dévier le courant, vous ne ferez qu’aggraver le ruissellement, il coulerait ailleurs, peu importe d’où cela sortira, il n’émerge d’aucun ego, tout au plus la vanité d’un trop-plein, le fruit de lavements au creux d’une cervelle salit par des traversements, comme l’égout effectue des transvasements, ce n’est qu’une affaire de goût en la matière ; aussi, vous devrez faire l’effort d’une lecture de récits sans noms, où éventuellement une entité inconnue vous poserait cette question malvenue, « tu lis des ratures ? », et vous lui répondriez surpris : « non, je tente de déchiffrer une écriture ? », imagineriez-vous, à cet instant, être traversé par cette autre interrogation, « encore une histoire de vivants, ajoutée aux archives, dans le surplus ? » Alors, on dirait qu’à chaque récit cela lui a déplu, c’est peut-être pour ça qu’elle continue ? Quoi ? La vie ! l’entité incongrue, la chose, le truc, le machin, enfin ce qui nous anime quoi ! Des pantins nous serions ? C’est sans doute pour ça, cette envie irrépressible d’une foi, cet ajout d’une piété, le pourquoi du comment d’une croix, un fardeau pour que l’on croie, un leurre très adroit… il nous masquerait ce qui se cache derrière tout ça… d’autres récits au-delà d’une voix ? Imperceptible, ce remuement garde en son sein une mémoire essentielle, et qu’elle vous construit, vous l’avait-on déjà dit ?</p>
</blockquote>
<blockquote>
<p style="text-align: justify;">On y revient toujours à ce gène qui vous instruit, comme une boucle récurrente, il emmagasine peu à peu toutes les histoires d’un même mouvement, celui du vivant évidemment ; cette particularité nous relie tous à ces stocks, des mémoires en action obligeant la moindre de vos cellules à se répliquer selon un ordre établi, et affiné au fil des ans, de jour en jour, une accumulation dont votre existence sera le témoin et l’acteur a un moment, localement ; puis, la trace que vous laisserez alimentera, peu importe comment, peu importe quoi, les futures propagations de notre essor, à nous, les terriens d’hier à demains, et bien plus encore… Cette mémoire (à travers le processus qui la lit) tente inlassablement de relier ces souvenirs préalables, dans les traces laissées, comme un fait exprès… ce cheminement semble intarissable ?</p>
</blockquote>
<p> </p>İpanadrega, un récit en cours de déversement…urn:md5:c478886550f05a764136abe67fd022d02021-01-13T23:03:00+01:002022-04-04T01:21:57+02:00la rédactionDu vivant <p style="text-align: justify;"><em>Un scribe momentané serait le transcripteur de cette rédaction *, </em>en cours de déversement goutte à goutte <em>; à l’entendre, il prétend être inspiré par le vivant tout autour de lui comme au-dedans de sa personne aussi, des particules l’informent de tout un monde, également (alors une infernale litanie de notes l’assaille et prolonge ce récit)… Et encore, il n’est sûr de rien, alors il se méfie, il ne maitrise pas grand-chose le bougre, dans l’histoire, devrions-nous nous méfier nous aussi ?</em></p>
<p style="text-align: justify;">Les multiples sources à l’origine de ces écritures, dessins, formes, sonorités, etc., sont décrites dans un avant, <span style="background-color:#ffffe0;">comme une sorte de gestation où l’on énumère </span><strong><em><span style="background-color:#ffffe0;">des préalables</span></em></strong><span style="background-color:#ffffe0;">, dont un scénario d’images, un entredeux, </span><em><strong><span style="background-color:#ffffe0;">des préambules</span></strong></em><span style="background-color:#ffffe0;">, et une </span><em><strong><span style="background-color:#ffffe0;">description de termes spécifiques à la narration</span></strong></em><span style="background-color:#ffffe0;"> </span><em><span style="background-color:#ffffe0;">(sorte de glossaire initiatique)</span></em><span style="background-color:#ffffe0;"> ; tout cela amené dans une temporalité analogue à une remontée du temps</span>, la volonté d’un besoin inconnu exigeant la relecture à contresens d’une mémoire irrépressible, la recherche d’un oubli, d’une incertitude, d’une tracasserie à appréhender, à résorber ? Ou serait-ce pour aider à comprendre l’argument des récits qui en furent la conséquence, « après » ? Quel drôle de souci ?</p>
<h4 style="text-align: center;"><a href="https://ipanadrega.net/"><em>İ</em>panadrega</a></h4>
<p style="text-align: justify;"><em><span style="background-color:#ffffe0;">* D’autres signes tendent à réfuter cette assertion ; les protagonistes de l’histoire seraient multiples, de tous bords, de toutes origines, alors, que représente la volonté d’une écriture à mettre en boîte tout un monde, comme pour le figer, un univers qui ne supporte aucune boîte où on l’enfermerait définitivement ! À moins que l’on se trompe, peut-être faut-il lire entre les lignes quelques indices cachés difficiles à dévoiler ?</span></em></p>De l'énergie à économiser pour survivre !urn:md5:d21ae7228ca3c6798e930c383d50e25d2020-10-28T11:00:00+01:002021-01-02T20:13:10+01:00la rédactionÉnergie <p><strong>De l’énergie à économiser pour survivre :</strong> le vivant ne subsiste et se perpétue qu’à travers une dissipation d’énergie ?</p>
<p><a href="https://www.youtube.com/watch?v=lBox1k1bFxs">Transition énergétique, avons-nous encore le temps ?</a></p>
<p><a href="https://www.youtube.com/watch?v=pGlx_xHAbjA">Jancovici : HEC Débats – 05/02/2020</a></p>
<p><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Marc_Jancovici">Qui est Jean-Marc Jancovici ?</a></p>
<p>Nous sommes à la veille de découvertes importantes :</p>
<p><a href="https://www.science-et-vie.com/science-et-culture/une-nouvelle-matiere-trois-particules-devoilent-un-univers-cache-58815#dossier-59019">Vers une nouvelle physique des particules ?</a></p>Nouvelles approches de la vieurn:md5:ce695efa1639289daeb40b88c11573552020-10-27T11:07:00+01:002020-12-29T23:01:46+01:00la rédactionDu vivant<p><em><strong>Définir « Lyfe » * dans l’univers : de trois fonctions privilégiées à quatre piliers</strong></em><br />
par Stuart Bartlett et Michael L. Wong</p>
<p>Résumé (sommairement traduit de l’anglais) :</p>
<blockquote>
<p>Motivés par la nécessité de brosser un tableau plus général de ce qu’est – et pourrait être – la vie par rapport au reste des phénomènes de l’univers, nous proposons un nouveau vocabulaire pour la recherche astrobiologique. « Lyfe » est défini comme tout système qui accomplit les quatre processus de l’état vivant, à savoir : <strong>la dissipation</strong>, <strong>l’autocatalyse</strong>, <strong>l’homéostasie</strong> et <strong>l’apprentissage</strong>. La vie est définie comme l’instance de « lyfe » que nous connaissons sur Terre, celle qui utilise une boîte à outils moléculaire organométallique spécifique pour enregistrer des informations sur son environnement et atteindre un ordre dynamique en dissipant certains déséquilibres planétaires. Ce nouveau système de classification permet à la communauté astrobiologique de définir plus clairement les questions qui propulsent leur recherche – par exemple, s’ils développent un récit historique pour expliquer l’origine de la vie (sur Terre), ou un récit universel pour l’émergence de la « lyfe », ou qu’ils recherchent des signes de vie spécifiquement, ou qu’ils soient en général à travers l’univers. Si le concept de « la vie telle que nous ne la connaissons pas » n’est pas nouveau, les quatre piliers de la « lyfe » offrent une nouvelle perspective sur l’état vivant, indifférente aux composants particuliers qui pourraient le produire.</p>
</blockquote> <blockquote>
<p style="text-align: justify;">* Nous proposons une nouvelle définition expansive de la vie – que nous appelons <strong>lyfe</strong> (au lieu de <strong>life</strong>) – et discutons de la manière dont une telle définition pourrait engendrer de nouvelles perspectives sur la recherche des origines de la vie.</p>
</blockquote>
<p style="text-align: justify;"><a class="media-link" href="https://ylem.fr/blog/public/du_vivant/lyfe.png"><img alt="" class="media" src="https://ylem.fr/blog/public/du_vivant/.lyfe_m.png" style="margin: 0 auto; display: table;" /></a></p>
<p><em><strong>Sources bibliographiques :</strong></em></p>
<p>Lien vers l’article originale : <strong><a href="https://www.mdpi.com/2075-1729/10/4/42/htm">Life | Free Full-Text | Defining Lyfe in the Universe: From Three Privileged Functions to Four Pillars</a></strong></p>
<p>L’article original en anglais : <a href="https://ylem.fr/blog/public/du_vivant/life-10-00042-v2.pdf">life-10-00042-v2.pdf</a><br />
Un résumé traduit de l’anglais : <a href="https://ylem.fr/blog/public/du_vivant/lyfe.pdf">lyfe.pdf</a><br />
Une traduction du texte entier (sans les illustrations) : <a href="https://ylem.fr/blog/public/du_vivant/lyfe_traduction_full.pdf">lyfe traduction full.pdf</a><br />
<em>(</em><strong><em>attention : </em></strong><em>les traductions en français ont été effectuées à l’aide de robotes automatiques et webeux, à vous d’interpréter le résultat avec prudence en le comparant avec l’original en anglais, la machine n’est pas parfaite…)</em></p>
<p><a href="https://www.franceculture.fr/emissions/la-methode-scientifique/la-methode-scientifique-emission-du-vendredi-25-septembre-2020">Sur France-culture : Redéfinition de la vie, anomalie des particules élémentaires</a></p>
<p><a href="https://scienceetonnante.com/2020/09/18/lyfe-la-thermodynamique-de-la-vie/">Sur Science étonnante : LYFE : la thermodynamique de la vie </a></p>
<p>Autres théories complémentaires :</p>
<p><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Panspermie">Panspermie</a></p>
<p><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Météorite_de_Murchison">Des briques du vivant dans la Météorite de Murchison</a></p>
<p><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Lynn_Margulis">Évolution du vivant sur terre : Lynn Margulis, théorie endosymbiotique</a></p>La stratégie du vivant…urn:md5:4a50c8c504b8e9416ee225a75a99b5682017-11-22T17:17:00+01:002020-12-29T19:15:36+01:00la rédactionDu vivant<blockquote>
<p>L’Ordre étrange des choses décrit comment, dans le cours d’une généalogie invisible, les émotions, les sentiments, le fonctionnement de l’esprit, mais aussi les formes les plus complexes de la culture et de l’organisation sociale, s’enracinent dans les organismes unicellulaires les plus anciens.</p>
</blockquote> <p style="text-align: justify;"><strong>Entendu sur France Culture, le 22 novembre 2017</strong></p>
<p style="text-align: justify;"><strong><em>Antonio Damasio</em></strong>, neuropsychologue, fait paraître « L’ordre étrange des choses » : la vie, les émotions et la fabrique de la culture (Odile Jacob, novembre 2017).</p>
<p style="text-align: justify;">Pionnier en la matière, avec « L’Ordre étrange des choses », chez Odile Jacob, il poursuit sa quête. Et traite de la vie, de ses origines, qu’il relie à l’émergence de l’esprit et à la fabrique de la culture. En faisant appel à un concept biologique, l’homéostasie, qu’il traduit en processus vital, et applique à la culture :</p>
<blockquote>
<p style="text-align: justify;">« Les humains voulaient trouver le remède aux tourments de leur cœur ; réconcilier les contradictions générées par la souffrance, la peur, la colère et la poursuite du bien-être. Ils se sont donc mis en quête de source d’émerveillement et de sensations fortes. Ils ont découvert la musique, la danse, la peinture et la littérature. Ils ont poursuivi leurs efforts en élaborant les tumultueuses épopées que sont les croyances religieuses, les questionnements philosophiques, la gouvernance politique – et bien d’autres inventions encore. C’est ainsi que notre esprit créateur de culture s’est perpétuellement adapté à la dramaturgie humaine, de la naissance jusqu’à la mort. » « L’Ordre étrange des choses » Antonio Damasio – Éditions Odile Jacob</p>
</blockquote>
<address>Sources bibliographiques :</address>
<ul>
<li><a href="https://www.odilejacob.fr/catalogue/sciences/neurosciences/ordre-etrange-des-choses_9782738136084.php">Ordre étrange des choses | Éditions Odile Jacob</a></li>
<li><a href="https://www.franceculture.fr/emissions/la-grande-table-2eme-partie/la-grande-table-2eme-partie-mercredi-22-novembre-2017">Les neurosciences émotionnelles d’Antonio Damasio - France Culture</a></li>
<li><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Ant%C3%B3nio_Dam%C3%A1sio">António Damásio — Wikipédia</a></li>
<li><a href="http://www.slate.fr/story/153947/voici-nouvelle-etrange-indepassable-definition-vie">Voici la nouvelle, étrange et indépassable définition de la vie | Slate.fr</a></li>
</ul>
<p style="text-align: center;">*</p>
<p><strong><em>Extrait interview Science & Avenir du 24-11-2017</em></strong></p>
<p>— Et selon vous les sentiments sont l’expression mentale de notre « homéostasie » ?</p>
<blockquote>
<p style="text-align: justify;">Dans le livre, j’explique en effet que le vivant nourrit un désir non réfléchi et involontaire : celui de persister et d’avancer vers l’avenir, contre vents et marées. L’homéostasie c’est «l’ensemble des processus coordonnés nécessaires à la réalisation de ce désir». Cela renvoie à ce que le philosophe Baruch Spinoza appelait le conatus : « Une inlassable volonté d’autopréservation de chaque être ». L’homéostasie est donc l’impératif puissant, non réfléchi et silencieux, qui assure le conatus, la persistance de la vie. Les sentiments, qui ont toujours une valence, agréable ou désagréable, sont l’expression mentale de notre homéostasie. Ils nous informent de notre état intérieur, ce qui va provoquer une réaction de préservation, qui peut générer des productions culturelles.</p>
</blockquote>
<p>— Selon votre théorie, les prémisses de ces cultures sont à chercher dans des biologies non humaines, jusqu’aux… bactéries ?</p>
<blockquote>
<p style="text-align: justify;">Les bactéries, apparues il y a près de 4 milliards d’années, sont de petites cellules sans noyau, sans système nerveux, sans esprit, les plus nombreuses et les plus variées des entités vivantes terrestres. Elles sont très intelligentes – même si leur intelligence n’est pas guidée par un esprit doué de sentiments, d’intentions et de conscience. Elles peuvent percevoir leurs conditions environnementales et réagir de manière à préserver leur <strong>homéostasie</strong>. Pour cela, elles sont capables de communiquer (chimiquement) entre elles, font preuve de mémoire et de gouvernance sociale, de stratégies de compétition ou de coopération, de conflits pour défendre leur territoire ou d’éviction des « traitres » qui ressemblent aux nôtres. Est-ce que ces stratégies d’organismes unicellulaires les plus anciens ne préfigurent pas nos stratégies culturelles complexes humaines? Je pense que oui.</p>
</blockquote>
<address style="text-align: justify;">Sources bibliographiques :</address>
<ul>
<li style="text-align: justify;"><a href="https://www.sciencesetavenir.fr/sante/interview-de-antonio-damasio-sur-les-sentiments_118523">Interview de Antonio Damasio sur les sentiments - Sciences et avenir.fr</a></li>
<li style="text-align: justify;"><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Hom%C3%A9ostasie">Homéostasie — Wikipédia</a></li>
</ul>
<p style="text-align: justify;"> </p>Du vivant…urn:md5:5fb3c886c726ffc0b508c1fbba3b2c632017-10-19T15:50:00+02:002022-05-08T08:43:24+02:00la rédactionDu vivant<p>Énumérations provisoires d’articles sur le vivant…</p> <p>Arbres et forêts :</p>
<address><em>Sources bibliographiques :</em></address>
<ul>
<li><a href="https://theconversation.com/larbre-qui-pourrait-sauver-les-forets-de-frenes-du-royaume-uni-58558">L’arbre qui pourrait sauver les forêts de frênes du Royaume-Uni</a></li>
<li><a href="http://www.futura-sciences.com/planete/actualites/botanique-exclusivite-souches-arbres-memoire-foret-68428/#xtor=RSS-8">Exclusivité : les souches d’arbres, mémoire de la forêt ?</a></li>
<li><a href="https://theconversation.com/les-arbres-se-parlent-ils-66779">Les arbres se parlent-ils ?</a></li>
<li> <a href="https://theconversation.com/lagroforesterie-ou-lart-de-mettre-des-arbres-dans-les-champs-54974">L’agroforesterie, ou l’art de mettre des arbres dans les champs</a></li>
<li><a href="https://theconversation.com/la-plus-ancienne-foret-deurope-attaquee-par-des-ravageurs-laissons-faire-la-nature-57243">La plus ancienne forêt d’Europe attaquée par des ravageurs… Laissons faire la nature </a></li>
</ul>
<p>Plantes :</p>
<address><em>Sources bibliographiques :</em></address>
<ul>
<li><a href="https://theconversation.com/les-bananes-vont-elles-disparaitre-67737">Les bananes vont-elles disparaître ?</a></li>
<li><a href="https://theconversation.com/en-direct-des-especes-dites-le-avec-des-bananes-81437">« En direct des espèces » : dites-le avec des bananes !</a></li>
</ul>
<p>Insectes, invertébrés, microbes… :</p>
<address><em>Sources bibliographiques :</em></address>
<ul>
<li><a href="https://theconversation.com/en-direct-des-especes-une-blatte-reecrit-lhistoire-de-la-nouvelle-caledonie-74908">« En direct des espèces » : une blatte réécrit l’histoire de la Nouvelle-Calédonie</a></li>
<li> <a href="https://theconversation.com/la-punaise-diabolique-cette-creature-urbaine-66752">La punaise diabolique, cette créature urbaine</a></li>
<li><a href="https://theconversation.com/le-frelon-asiatique-est-entre-dans-paris-62746">Le frelon asiatique est entré dans Paris</a></li>
<li><a href="https://theconversation.com/crise-de-la-biodiversite-noublions-pas-les-invertebres-81517">Crise de la biodiversité : n’oublions pas les invertébrés !</a></li>
<li><a href="https://theconversation.com/en-direct-des-especes-avez-vous-vu-obama-dans-votre-jardin-74030">« En direct des espèces » : avez-vous vu Obama dans votre jardin ?</a></li>
<li><a href="https://theconversation.com/lyme-fievre-du-nil-ebola-comment-lerosion-de-la-biodiversite-favorise-virus-et-bacteries-54320">Lyme, fièvre du Nil, Ebola : comment l’érosion de la biodiversité favorise virus et bactéries</a></li>
<li><a href="https://theconversation.com/lhistoire-de-zika-virus-emergent-transmis-par-les-moustiques-53774">L’histoire de Zika, virus émergent transmis par les moustiques</a></li>
<li><a href="https://theconversation.com/a-la-rencontre-du-blob-cette-etonnante-creature-unicellulaire-85164">À la rencontre du blob, cette étonnante créature unicellulaire</a></li>
</ul>
<p>Animaux :</p>
<address><em>Sources bibliographiques :</em></address>
<ul>
<li><a href="https://theconversation.com/en-direct-des-especes-qui-est-vraiment-le-rat-brun-ce-petit-mammifere-citadin-85052">« En direct des espèces » : Qui est vraiment le rat brun, ce petit mammifère citadin ?</a></li>
<li><a href="https://theconversation.com/ce-petit-poisson-qui-menace-nos-assiettes-48467">Ce petit poisson qui menace nos assiettes</a></li>
<li><a href="https://theconversation.com/en-direct-des-especes-quelles-sont-les-grenouilles-presentees-dans-lassiette-78269">« En direct des espèces » : quelles sont les grenouilles présentées dans l’assiette ?</a></li>
</ul>
<p>Corail :</p>
<address><em>Sources bibliographiques :</em></address>
<ul>
<li><a href="https://theconversation.com/le-corail-sous-haute-surveillance-en-nouvelle-caledonie-55605">Le corail sous haute surveillance en Nouvelle-Calédonie</a></li>
<li><a href="https://theconversation.com/comment-le-rechauffement-risque-de-tuer-le-corail-48217">Comment le réchauffement risque de tuer le corail</a></li>
<li><a href="https://theconversation.com/trente-annees-dobservations-pour-mieux-comprendre-les-recifs-coralliens-59432">Trente années d’observations pour mieux comprendre les récifs coralliens</a></li>
<li><a href="https://theconversation.com/expedition-scientifique-tara-au-plus-pres-des-recifs-coralliens-du-pacifique-84483">Expédition scientifique Tara : au plus près des récifs coralliens du Pacifique</a></li>
<li><a href="https://theconversation.com/a-la-recherche-des-derniers-refuges-de-la-biodiversite-corallienne-56632">À la recherche des derniers refuges de la biodiversité corallienne</a></li>
</ul>
<p>Généralités :</p>
<address><em>Sources bibliographiques :</em></address>
<ul>
<li><a href="https://theconversation.com/nature-en-ville-faites-circuler-la-biodiversite-84329">Nature en ville : faites circuler la biodiversité !</a></li>
<li><a href="https://theconversation.com/biodiversite-combien-de-millions-despeces-61875">Biodiversité, combien de millions d’espèces ?</a></li>
<li><a href="https://theconversation.com/crise-de-la-biodiversite-pourquoi-cela-nous-concerne-tous-83825">Crise de la biodiversité : pourquoi cela nous concerne tous</a></li>
<li><a href="https://theconversation.com/etes-vous-terriens-ou-martiens-plaidoyer-pour-une-economie-permacirculaire-85165">Êtes-vous Terriens ou Martiens ? Plaidoyer pour une économie permacirculaire</a></li>
<li><a href="https://theconversation.com/el-nino-quest-ce-que-cest-47645">El Niño, qu’est-ce que c’est ?</a></li>
</ul>Origine des ancêtresurn:md5:fff613187a2bffb897b5b754d8a4b1ad2017-08-31T19:24:00+02:002022-05-08T08:49:18+02:00la rédactionHominidéens<p>Les recherches en <strong>paléoanthropologie</strong>, ainsi que des études en génétique consistant à comparer l’ADN de différentes populations humaines actuelles aboutissent à l’idée que la population humaine originelle se situait en Afrique. Les plus vieux ossements attribués à Homo sapiens ont en effet été découverts en <strong>Afrique</strong>.</p> <p style="text-align: justify;">Actuellement, les paléontologues donnent à Homo sapiens un âge d’environ 310 000 ans ; <a href="http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/actu-homo-sapiens-vieillit-au-moins-de-100-000-ans-38496.php">les plus vieux ossements retrouvés à Djebel Ighour au Maroc en 2017</a> permettent de dater par thermoluminescence les restes retrouvés et augmentent de plus de 100 000 ans ceux de deux crânes datés de - 195 000 ans, et appelés Omo 1 et Omo 2 (attribués à deux crânes découverts à Kibish, en Éthiopie, en 1967) ; viennent ensuite ceux de l’Homme d’Herto encore appelé Homo sapiens idaltu, datés d’environ - 154 000 ans, tous en Afrique, ce qui fait dire à <strong>Michel Brunet</strong> (paléoanthropologue) que « nous sommes tous des Africains… ». Les premiers représentants du genre Homo seraient apparus il y a environ 2,8 millions d’années.</p>
<p style="text-align: center;"><img alt="https://www.hominides.com/data/images/buisson/arbre-genealogique-hominides.jpg" src="https://www.hominides.com/data/images/buisson/arbre-genealogique-hominides.jpg" /></p>
<p style="text-align: justify;"><em>Sources bibliographiques :</em></p>
<ul>
<li style="text-align: justify;"><a href="http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/actu-homo-sapiens-vieillit-au-moins-de-100-000-ans-38496.php">Homo sapiens vieillit au moins de 100 000 ans –Pour la Science</a></li>
<li style="text-align: justify;"><a href="https://www.hominides.com/html/ancetres/ancetres-homo-sapiens.php">Homo Sapiens – Hominidés</a></li>
<li style="text-align: justify;"><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Homo_sapiens">Homo sapiens – Wikipédia</a></li>
<li style="text-align: justify;"><a href="http://www.hominides.com/html/ancetres/ancetres.php">Les évolutions de l’homme –Les ancêtres de l’homme – Hominidés</a></li>
</ul>
<p style="text-align: center;">*</p>
<ul>
<li><a href="http://cerveauetpsycho.fr/ewb_pages/a/actu-la-mutation-a-l-origine-de-notre-cerveau-38107.php">La mutation à l’origine de notre cerveau –Pour la Science (article du 7/02/2017)</a></li>
</ul>
<blockquote>
<p><strong>A la recherche des gènes disparus </strong><strong>(extrait de l’article)</strong></p>
<p style="text-align: justify;">Revenons 500 000 ans en arrière. Nos ancêtres Homo erectus parcourent alors la planète avec des cerveaux environ deux fois plus petits. Ce ne sont pas encore des Homo sapiens. Il leur manque un déclic pour maîtriser l’abstraction et les notions complexes. Et puis, ce déclic se produit.</p>
<p style="text-align: justify;">Des paléogénéticiens, spécialistes de l’ADN préhistorique, viennent de découvrir comment. Ils ont trouvé la réponse dans le génome de nos lointains ancêtres. <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Svante_P%C3%A4%C3%A4bo">Le chercheur suédois Svante Paabo</a> a été le pionnier de ces recherches. Son équipe vient de découvrir qu’une mutation fortuite, apparue il y a 500 000 ans environ dans le génome des hominidés, a tout changé pour notre cerveau…</p>
</blockquote>
<p style="text-align: center;">*</p>
<ul>
<li><a href="http://www.hominides.com/html/dossiers/disparition_neanderthal.php">La disparition des neanderthaliens – Dossiers - Hominidés</a></li>
<li><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Homme_de_N%C3%A9andertal">Homme de Néandertal – Wikipédia</a></li>
<li><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Homme_de_Flor%C3%A8s">Homme de Florès – Wikipédia</a></li>
<li><a href="http://www.hominides.com/html/ancetres/ancetres-homo-floresiensis.php">Homo floresiensis –Homme de Flores –Hobbit - Ancêtres –Hominidés</a></li>
<li><a href="http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/actu-l-adn-de-neandertal-trahit-une-migration-precoce-de-sapiens-hors-d-afrique-38612.php">L’ADN de Néandertal trahit une migration précoce de Sapiens hors d’Afrique –Pour la Science</a></li>
<li><a href="https://www.sciencesetavenir.fr/archeo-paleo/archeologie/les-dix-millenaires-oublies-qui-ont-fait-l-histoire_116664?xtor=RSS-4">Les dix millénaires oubliés qui ont fait l’Histoire – Sciencesetavenir.fr</a></li>
</ul>
<p> </p>