N’est-il pas étonnant dans un paysage, d’observer un goéland plané, par exemple (même si sa voracité envers ses proies est avérée), ou tout autre oiseau, dans leur piaillement au-dessus de nos têtes ? Quel plus bel imaginaire inventa donc la vie ? Cet être nous apporta deux choses : premièrement, voler dans les airs, que nous imitâmes en réalisant des machines, avions ou cerfs-volants, puis volant nous-mêmes avec des ailes en toile ; deuxièmement, cet entendement assez indéfinissable, appelons-le « le chant des oiseaux », dire qu’il inspira grandement nos ancêtres c’est à peu près certain ; à leur tour, ils « chantèrent » et élaborèrent des sons pour accompagner, ce que l’on nomme maintenant « la musique ! » Ces deux choses existentielles représentent deux éléments du vivant qu’il nous légua, son long poème qui nous traverse toujours, pour ensoleiller nos vies et l’agrémentent encore ; même si parfois dans nos débordements, nous construisons des avions infâmes pour d’absurdes bombardements, dont les pires furent ceux qui lâchèrent deux bombes atomiques inutilement sur des cités déjà aux abois…


Sources bibliographiques :