Les Archées interviennent par ailleurs de façon non négligeable dans le cycle du carbone et le cycle de l’azote. On ne connaît pas vraiment d’exemple d’archée pathogène ou parasite, mais elles sont souvent mutualistes ou commensales.

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Les Archées méthanogènes de l’intestin humain et des ruminants participent ainsi favorablement à la digestion.
Les Archées sont extrêmement diversifiées. Certaines sont connues pour leur capacité à vivre dans des conditions extrêmes et occupent des niches écologiques qu’elles sont souvent seules à occuper (pH proche de 0, température supérieure à 100 °C, salinité élevée par exemple), mais il existe beaucoup d’Archées vivant dans des biotopes plus courants et très variés comme le sol, les lacs, la mer ou l’intestin des animaux. Elles contribueraient jusqu’à 20 % du total de la biomasse.

Sources bibliographiques :