Réformer la distribution et la productions
des cultures vivrières vers plus de proximité ?

Le cas de la pomme est très emblématique !
Qui n’a pas été confronté à l’achat de pommes dans un supermarché et de devoir choisir des fruits venus de Nouvelle-Zélande ou du Chili, avec parfois même l’absence d’un production française ou le plus souvent locale où la pomme est produite sur place !

La politique d’approvisionnement et de distribution des grandes surfaces devrait être revue de fond en comble. La main mise ultra libérale de la finance sur ce secteur perverti la production vivrière locale, l’appauvrie, alors qu’elle devrait être garantie et protégée économiquement.
L’obligation des collectivités assurant une restauration quotidienne à se fournir localement devrait être une obligation systématique, par exemple.

Toutes les cultures vivrières pouvant être produites sur place, devrait alimenter prioritairement les villes environnantes et seulement les surplus de production ne devrait être exporté que là où la culture de la denrée n’est pas possible.

L’exportation de pommes à l’autre bout de la terre devrait être soit interdit, soit fortement taxé, tant ce mode de distribution est extravagant.