En phylogenèse, on représente couramment les parentés par un arbre phylogénétique. Le nombre de nœuds entre les branches, qui représente autant d’ancêtres communs, indique le degré de parenté entre les individus, les groupes ou les taxons. Plus il y a de nœuds et donc d’ancêtres intermédiaires entre deux êtres vivants, plus leur ancêtre commun est ancien et plus leur parenté actuelle est éloignée.

Phylogénie à trois domaines, prenant en compte les résultats de la cladistique et de la génétique, par Guillaume Lecointre & Hervé Le Guyader (2006) et d’après Purificación López-García & David Moreira (2008)

Sources bibliographiques :