Sources bibliographiques :
- The phylogenetic roots of human lethal violence : Nature : Nature Research 538, 233 – 237 (13 October 2016)
- How Murderous Are Humans? - The Atlantic (28 septembre 2016)
- (20+) Les suricates, plus grands meurtriers de la nature - Libération (30 septembre 2016)
- Le plus meurtrier des mammifères est le suricate loin devant l’Homme - Sciencesetavenir.fr (12 octobre 2016)
La violence est dans la nature… :
Tout comme le lion mange ou tue le lionceau qui n’appartient pas à sa progéniture, cet acte qui peut apparaître à certains « horrible » obéit comme le reste, à un mécanisme de survie (qui a dit que la nature dégouline de tendresse ?). La question, ici, ne consiste pas à savoir si tout cela est bien ou mal, bon ou mauvais, mais à essayer d’assimiler et de comprendre leur véritable finalité !
Sources bibliographiques :
- Pyromane, sociopathe et tortionnaire, la face cachée du faucon - Sciencesetavenir.fr
- The impact of free-ranging domestic cats on wildlife of the United States | Nature Communications
- Domestic Cat Predation on Wildlife - Domestic-Cat-Predation-on-Wildlife.pdf
Violence et sexualité…
« Finalement, la vision moderne de la sexualité animale démontre quelques faiblesses dans la théorie de la sélection sexuelle telle que formulée par Darwin », affirme Thierry Lodé. Le naturaliste britannique défendait l’idée que chacun était animé par « le désir de laisser un maximum de descendants, ou de transmettre au mieux ses gènes dans une conception plus moderne. Or, le conflit des sexes pousse à réduire la reproduction de l’autre. La seule chose qui vaille dans cet antagonisme, c’est la possibilité de consentir ensemble à la reproduction. » Les hippies clament depuis longtemps qu’il faut faire l’amour plutôt que la guerre. La science semble nous dire qu’il faut d’abord se battre pour pratiquer le sexe.
Sources bibliographiques :
- Sexualité : pour faire l’amour, commençons par faire la guerre
- Guerre des sexes chez les animaux | Éditions Odile Jacob
- Thierry Lodé | Éditions Odile Jacob
- Thierry Lodé — Wikipédia
Des manuscrits qui font corps avec des situations extrêmes :
Comment les mots peuvent encore témoigner de nos existences soudain tremblées ? Ce sont eux auxquels nous nous raccrochons dans les moments extrêmes de la vie, quand nous nous trouvons à sa pointe finale, ou que nous gémissons sous l’aiguillon inassouvi du désir, ou que nous nous trouvons sous l’empire de l’angoisse absolue. Dans les situations de désespoir ou sous l’emprise des expériences limites de la conscience…