Sources bibliographiques :

La violence est dans la nature… :

Tout comme le lion mange ou tue le lionceau qui n’appartient pas à sa progéniture, cet acte qui peut apparaître à certains « horrible » obéit comme le reste, à un mécanisme de survie (qui a dit que la nature dégouline de tendresse ?). La question, ici, ne consiste pas à savoir si tout cela est bien ou mal, bon ou mauvais, mais à essayer d’assimiler et de comprendre leur véritable finalité !

Sources bibliographiques :

Violence et sexualité…

« Finalement, la vision moderne de la sexualité animale démontre quelques faiblesses dans la théorie de la sélection sexuelle telle que formulée par Darwin », affirme Thierry Lodé. Le naturaliste britannique défendait l’idée que chacun était animé par « le désir de laisser un maximum de descendants, ou de transmettre au mieux ses gènes dans une conception plus moderne. Or, le conflit des sexes pousse à réduire la reproduction de l’autre. La seule chose qui vaille dans cet antagonisme, c’est la possibilité de consentir ensemble à la reproduction. » Les hippies clament depuis longtemps qu’il faut faire l’amour plutôt que la guerre. La science semble nous dire qu’il faut d’abord se battre pour pratiquer le sexe.

Sources bibliographiques :

Des manuscrits qui font corps avec des situations extrêmes :

Comment les mots peuvent encore témoigner de nos existences soudain tremblées ? Ce sont eux auxquels nous nous raccrochons dans les moments extrêmes de la vie, quand nous nous trouvons à sa pointe finale, ou que nous gémissons sous l’aiguillon inassouvi du désir, ou que nous nous trouvons sous l’empire de l’angoisse absolue. Dans les situations de désespoir ou sous l’emprise des expériences limites de la conscience…